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Balado : Les finances d’un médecin du point de vue de son conjoint

Dans cet épisode, nous prenons l’angle des conjoints et de leur expérience unique en tant que membre de la famille d’un médecin.


Dans cet épisode, animé par Karen Ruel en compagnie de Elina Pacu, nous prenons l’angle des conjoints et de leur expérience unique en tant que membre de la famille d’un médecin.



Vous écoutez le balado Littératie Financière, une présentation de Gestion financière MD.

La seule société pancanadienne de services financiers qui se consacre au bien-être financier des médecins et des membres de leur famille.

KR : Bonjour chers auditeurs! Bienvenue à ce nouvel épisode du balado Littératie Financière. Je m’appelle Karen Ruel. C’est un grand plaisir pour moi d’être de retour au micro. L’épisode d’aujourd’hui est un peu spécial, car même si tous nos balados concernent les médecins et leur famille, celui-ci s’adresse tout particulièrement aux conjoints de médecin et porte sur les particularités de leurs finances. MD sait que les objectifs financiers des médecins touchent nécessairement leur famille, et nous allons donc parler des façons de planifier pour votre ménage, même si vous ne mettez pas tout en commun. Nous allons notamment traiter des répercussions qu’ont les finances particulières des médecins sur leurs partenaires, et du rôle de ces derniers dans la planification pour le ménage. Avec nous pour nous faire part de ses conseils de professionnel, nous avons Elina Pacu. Merci d’être avec nous aujourd’hui.

EP : Merci Karen. J’ai bien hâte d’aborder certains points dont il a été question dans les épisodes précédents, mais du point de vue du conjoint. Je suis moi-même en couple avec un médecin, et je comprends à quel point ces discussions sont importantes, car elles permettent de rassurer tout le monde et d’éliminer certaines sources de tension dans le couple.

KR : Oui, c’est exactement notre objectif. Au cas où nous aurions de nouveaux auditeurs à l’écoute aujourd’hui, passons en revue rapidement ce qui distingue les médecins des autres professions sur le plan financier.

EP : Bonne idée. D’abord, les médecins s’endettent beaucoup plus que la moyenne des gens pendant leur formation. Pour un médecin spécialiste, ces dettes peuvent s’élever à près de 300 000 $ au moment où il commence à exercer.

Mais il n’y a pas que des désavantages. D’abord, les médecins ont un revenu beaucoup plus élevé que la plupart des autres professions. De plus, les taux d’intérêts sur leurs dettes sont souvent très faibles. La combinaison de ces deux facteurs facilite le remboursement et laisse une certaine marge de manœuvre pour l’épargne en vue d’autres objectifs personnels.

KR : Comme la retraite?

EP : Exactement. Comme les médecins doivent habituellement financer eux-mêmes leur retraite, ils doivent commencer à épargner très tôt, souvent au moment où ils s’efforcent de rembourser leurs dettes.

Un partenaire avec un régime de retraite de l’employeur peut jouer un rôle important à cette étape. Nous y reviendrons bientôt.

Il y a aussi différentes dépenses associées à la fondation d’un cabinet ou à la constitution en société. Mettons ça sur la glace pour l’instant.

Ce qu’il faut retenir, c’est que le parcours financier d’un médecin n’a rien d’ordinaire et qu’il est important de ne pas perdre le fil. En votre qualité de conjoint, cela vous touche directement. La dette de votre conjoint peut avoir une incidence sur votre capacité d’emprunter pour d’autres biens ménagers, vous pourriez être nommé actionnaire d’une société et dans de NOMBREUX cas, en fait dans la plupart des cas, vous serez chargé de gérer tout cela!

Et c’est un peu ce qui nous a poussés à choisir le sujet de cet épisode. Nous allons vous prouver que vous n’êtes pas seul, vous donner quelques conseils utiles et vous expliquer ce que nous pouvons faire pour vous. Nous travaillons chaque jour avec des conjoints de médecins, et ce, même si le médecin en question n’est pas (encore) notre client.

KR : C’est bien vrai. J’aime aborder ça comme un parcours. Explorons ensemble les principales étapes du parcours d’un médecin typique, et discutons du rôle du conjoint à chacune d’elles.

EP : Certainement. Je crois que le meilleur point de départ est la formation, qui comprend les années d’université, la résidence et, dans certains cas, le fellowship. C’est pendant la formation que votre partenaire dépendra le plus de vous. Malgré une combinaison de prêts étudiants et de différents produits de crédit, il ne sera probablement pas capable de couvrir l’ensemble de ses dépenses, et ce, même s’il gagne un salaire à la résidence. Cela signifie qu’à défaut d’emprunter davantage, vous devrez probablement vous occuper des frais de subsistance, des dépenses du ménage et de l’épargne par vous même.

Certains conjoints aux revenus élevés paient les frais de scolarité de leur partenaire pendant ces années, et d’autres préfèrent cloisonner leurs dettes et leurs biens. Chaque option présente des inconvénients et des avantages. Tout est une question de préférence. Il n’y a pas de bonne ni de mauvaise solution. Ce qu’il faut garder en tête, c’est l’état matrimonial. La situation n’est pas la même pour les couples mariés que pour les conjoints de fait.

Une fois que votre conjoint aura terminé sa formation et commencera à exercer la médecine, vous constaterez rapidement une augmentation du revenu de votre ménage, mais pas nécessairement une augmentation des liquidités disponibles. Il est possible qu’une grande partie des fonds soit détenue au sein d’une société, utilisée pour des dépenses professionnelles ou destinée à rembourser des dettes. Et n’oubliez pas : les médecins n’ont pas de congés payés, alors s’ils partent en vacances ou en congé parental, c’est à leurs frais.

À cela s’ajoute le remboursement des dettes. En moyenne, les médecins passent les huit premières années de leur carrière à rembourser leur dette d’études. Et enfin, il faut prévoir certaines dépenses professionnelles associées à la fondation de son propre cabinet de médecine. Au fur et à mesure que les revenus de votre conjoint médecin augmentent, vous devriez redistribuer les responsabilités et redéterminer qui tire le plus d’avantages de chaque programme auquel vous avez accès. Par exemple, la personne ayant le revenu le plus élevé pourrait assumer une plus grande part des dépenses du ménage pour que l’autre puisse consacrer davantage d’argent à l’épargne pour les objectifs communs. Il existe aussi ce qu’on appelle le fractionnement du revenu, un mécanisme potentiellement très avantageux sur le plan fiscal.

Une fois que votre conjoint aura remboursé une grande partie de ses dettes, vous pourrez affecter une plus grande partie de vos revenus aux placements et à l’épargne. Comme je le disais, le taux d’intérêt sur la dette de votre partenaire sera probablement faible, il est donc préférable de ne pas attendre d’avoir tout remboursé avant de commencer à mettre de l’argent de côté pour l’avenir, notamment pour la retraite.

Nous savons que toutes ces responsabilités peuvent être un fardeau pour vous, surtout qu’elles s’ajoutent à vos propres obligations financières. C’est pourquoi je vous recommande fortement de faire appel à un conseiller financier.

KR : Oui! Les conseillers de MD sont spécialistes des finances des médecins et sont bien au courant du rôle important que joue le conjoint dans le ménage. Ils sauront vous aider à déterminer s’il convient de regrouper vos avoirs ou non.

EP : Exactement. Les conseillers de MD peuvent être d’excellent conseil, même si vous n’êtes pas médecin vous-même. Ils peuvent vous informer et vous aider à naviguer le dédale de vos finances afin que vous puissiez atteindre à la fois vos objectifs personnels et ceux que vous partagez avec votre partenaire.

Et n’oubliez pas que votre conseiller est à vos côtés à chaque étape du processus. Si votre situation et vos objectifs changent, il suffit d’un coup de fil et il vous aidera à modifier votre plan et à rester sur la bonne voie.

KR : Tu lis dans mes pensées. Mais que dirais-tu à quelqu’un qui hésite à prendre part à l’endettement de son conjoint, qui préfère garder les finances séparées?

EP : Il n’y a rien de mal à cela. En fait, il y a même des avantages à ne pas mettre ses biens, ou ses dettes, en commun. Par exemple, cette personne pourrait choisir d’investir dans un placement rentable plutôt que de rembourser la dette d’études à faible taux d’intérêt, et déductible d’impôts, de son conjoint. Elle pourrait également cotiser à un REER, ou même à un REER au profit de son conjoint, si cette solution est avantageuse sur le plan fiscal. Il existe de nombreuses raisons de ne pas tout mettre en commun, pensons par exemple aux impôts ou à la succession.

Toutefois, le conjoint doit savoir qu’il y a certains avantages à fusionner les finances du couple.

KR : Il y a un avantage à assumer une dette dans les six chiffres?

EP : Oui, par exemple si vous voulez augmenter votre pouvoir d’emprunt pour des achats futurs. Mais ça c’est si vous vivez bien avec l’endettement et qu’il n’y a pas de coût d’opportunité.

Lorsqu’une institution financière constate que vous êtes capable de respecter vos mensualités minimales et vos paiements d’intérêts en dépit d’un endettement important, elle est plus encline à vous accorder d’autres prêts. Et les institutions financières qui connaissent bien les finances des médecins et leurs revenus projetés sont plus disposées à faire abstraction des dettes en cours et à continuer à prêter, sachant que vous serez en mesure de rembourser. Cela facilite notamment l’obtention d’un prêt hypothécaire intéressant.

KR : C’est bien vrai. Voilà un autre point important sur lequel MD insiste souvent. Vos objectifs personnels sont importants, et nous savons comment éviter qu’ils souffrent en raison de votre relation avec un médecin.

EP : Tout à fait. Une fois de plus, parlez de vos objectifs à un conseiller et demandez-lui de vous aider à planifier, individuellement et en famille, pour les atteindre.

KR : Lorsqu’un ménage comprend un médecin, il y a toujours avantage à être stratégique, car il existe des options et des solutions conçues spécifiquement pour eux. On peut penser que c’est simple, qu’il suffit de mettre de l’argent de côté chaque mois, mais c’est plus compliqué que ça, j’imagine.

EP : En effet! Les médecins doivent jongler avec plusieurs obligations financières simultanément. Comme nous l’avons mentionné plus tôt, ils doivent pour la plupart financer eux-mêmes leur retraite, ce qui signifie qu’ils doivent commencer à investir tôt, souvent pendant qu’ils remboursent leurs dettes. Et ceux qui décident de fonder leur propre cabinet doivent composer avec une foule de dépenses professionnelles. Et c’est sans compter sur toutes les dépenses de la vie quotidienne. Pas facile d’épargner dans ces circonstances.

Dans notre expérience, les médecins confient souvent les rênes de leurs finances, personnelles et professionnelles, à leur conjoint. En fait, ces conjoints finissent souvent par travailler directement pour la société de leur conjoint médecin et en être actionnaire. Cette façon de faire requiert beaucoup d’efforts de la part du conjoint non médecin et n’est pas sans incidence fiscale, même s’il s’agit d’une bonne occasion de fractionner les revenus et de planifier conjointement pour la retraite.

Certains couples gèrent leur argent différemment : ils utilisent le plus gros revenu pour payer la majorité des dépenses ordinaires, et le plus petit revenu aux fins d’investissement et d’épargne afin de profiter du plus faible taux d’imposition sur les gains.

Il existe de nombreuses autres stratégies qui facilitent l’épargne, par exemple le REER au profit du conjoint.

KR : En quoi un tel REER est-il différent d’un REER ordinaire?

EP : La principale différence est que dans le cas d’un REER au profit d’un conjoint, c’est le conjoint au revenu le plus élevé qui verse les cotisations, mais c’est l’autre qui est nommé bénéficiaire et qui retire les fonds pour sa retraite.

Il s’agit donc d’un excellent produit pour les médecins, car il facilite le fractionnement du revenu de retraite et permet d’outrepasser la limite habituelle de 50 % du revenu de pension admissible. Et toutes les cotisations versées deviennent la propriété du bénéficiaire.

Il s’agit également d’un levier fiscal utile, car c’est le conjoint qui verse les cotisations, donc celui qui a les revenus les plus élevés, qui bénéficie de la déduction. Il y a donc un avantage immédiat, et un autre à la retraite. Si l’on compare au REER ordinaire, le conjoint au revenu le plus faible est en mesure d’épargner plus que ce qu’il aurait pu cotiser seul, tandis que le conjoint ayant le revenu le plus élevé est en mesure de maintenir son épargne à un niveau suffisamment bas pour éviter les taux d’imposition élevés. En fin de compte, tout le monde a un revenu après impôt plus élevé.

Ce qu’il ne faut pas oublier, c’est que les cotisations à un REER doivent provenir d’un salaire. Donc, si un médecin exerce en société et qu’il se verse des dividendes ou un tout petit salaire, son conjoint non-médecin pourrait cotiser à un REER de conjoint pour lui.

KR : Excellente stratégie! Parlant d’excellentes stratégies, on peut penser à la constitution en société.

EP : Oui, absolument. En fait, la principale motivation des médecins qui choisissent d’exercer en société est la possibilité de jouir d’importants allègements fiscaux.

Mais cette option n’est pas toujours la meilleure, et il faut savoir choisir le bon moment pour le faire. Avant de se lancer, il vaut mieux parler à un conseiller ou à un comptable, car ça coûte cher, et ce n’est pas rentable pour tout le monde.

KR : Bon, et bien expliquons aux conjoints de médecin qui nous écoutent comment la constitution fonctionne, et quelle est son incidence sur leurs affaires personnelles.

EP : Entendu. D’entrée de jeu, seuls les médecins en exercice travaillant à leur compte peuvent se constituer en société. Ce faisant, vous créez une personne morale, qui exerce le contrôle de vos activités professionnelles et dont vous êtes employé et actionnaire.

Ce mécanisme profite aux médecins, car il leur permet de conserver leurs surplus dans la société, où ils sont imposés au taux des petites entreprises, et de maintenir le revenu de leur ménage assez bas pour éviter les plus hauts paliers d’imposition.

Et s’il y a des désavantages à être nommé actionnaire ou employé de la société de son conjoint médecin, cela facilite toutefois le fractionnement du revenu, soit le transfert de certains gains vers le conjoint qui gagne moins d’argent afin qu’ils soient imposés à taux moindre.

Comme le succès de cette stratégie repose sur des calculs précis, il vaut mieux consulter un comptable au préalable.

KR : En effet! Ce que j’entends, c’est que la meilleure façon pour un médecin et son conjoint de tirer le maximum des occasions qui s’offrent à eux est de travailler en équipe.

EP : Bien sûr. C’est comme dans toute bonne relation : le tout est plus grand que la somme de ses parties. En matière de planification, les conjoints qui travaillent en équipe ont plus d’options. Deux personnes qui se soutiennent et se font confiance auront plus de chances d’atteindre leurs objectifs, et c’est encore plus vrai lorsqu’on parle de finances.

KR : Bon point. Depuis le début de l’épisode, nous parlons de l’incidence de votre relation avec un médecin sur vos finances, mais nous n’avons pas encore abordé les répercussions possibles de ces aspects financiers sur votre relation. Bon, ni toi ni moi ne sommes des experts en relation de couple, mais as-tu remarqué que certaines sources de conflit reviennent plus souvent que d’autres? As-tu des conseils sur la façon d’avoir de saines conversations à propos de l’argent?

EP : Comme tu le dis, je ne suis pas ici pour conseiller quiconque à propos de son couple, mais je crois qu’il y a des choses à ne pas perdre de vue pour éviter que les finances ne deviennent pomme de discorde.

La première chose à se rappeler, c’est l’importance de la communication. Tu vas me dire que la communication est toujours importante, mais en matière de finances, la transparence est vraiment la clé du succès. Il faut se sentir à l’aise d’aborder les sujets épineux, comme l’endettement, afin d’éviter les mauvaises surprises en cours de route ou lorsque la situation dérape.

Un peu plus tôt, nous avons parlé des conjoints qui ne mettent rien en commun. Il n’y a rien de mal à ça. Après tout, beaucoup de gens ont leur propre compte chèques ou leur propre carte de crédit, mais il y a une grande différence entre garder les choses séparées et les garder secrètes. La franchise est d’autant plus importante si vous avez des objectifs communs, comme l’achat d’une propriété ou un plan de retraite. Votre partenaire doit savoir si quelque chose menace l’atteinte de ces objectifs.

Il y a aussi l’enjeu de l’ego. Nous avons mentionné que lorsqu’on a un conjoint médecin, le chapeau du plus gros revenu risque de changer de tête en cours de route. Pendant les années de formation, les futurs médecins s’endettent beaucoup et les entrées d’argent sont souvent le propre du conjoint. Après quelques années d’exercice de plein droit, les rôles s’inversent et soudainement, c’est à lui que les banques s’adressent.

Les conjoints dans cette situation doivent comprendre qu’ils ont tous deux un rôle important à jouer dans les moments où leur partenaire compte sur eux pour assumer la part du lion des responsabilités financières. N’oubliez pas, vous êtes une équipe et vous devez faire passer l’atteinte de vos objectifs communs avant votre ego.

Tout est une question d’honnêteté avec soi-même, avec son partenaire et avec son conseiller. Le stress financier cause souvent des tensions dans d’autres sphères de la vie, et parler ouvertement d’argent est une bonne façon de le soulager.

KR : Tout à fait! Nous approchons de la fin de l’épisode, mais avant de conclure, as-tu un dernier conseil pour le conjoint d’un médecin qui s’apprête à se tremper les orteils dans les finances de son couple?

EP : Certainement. S’il y a une chose à retenir, c’est que si le fait d’avoir un médecin comme partenaire peut entraîner certains défis financiers, cela ne signifie pas pour autant que vous devez sacrifier vos propres rêves.

Les institutions financières comprennent les exigences et les contraintes liées à la poursuite d’une carrière en médecine. Elles veulent donc travailler avec les futurs médecins et leur famille pour s’assurer que tous ces autres objectifs importants demeurent réalisables. C’est la raison d’être des stratégies et des programmes dont nous avons parlé aujourd’hui.

Mais la meilleure façon d’atteindre vos objectifs? Un bon plan financier, une communication honnête et l’aide d’un conseiller professionnel. Et c’est pourquoi MD existe.

KR : Génial. Merci Elina de nous avoir fait découvrir les finances des médecins d’un autre point de vue.

EP : Merci à toi. J’ai eu beaucoup de plaisir, et j’espère avoir pu aider quelques auditeurs.

KR : Je n’ai aucun doute que c’est le cas. Et parlant de nos auditeurs, un grand merci à tous de nous avoir écoutés. Comme nous l’avons dit en début d’épisode, MD se consacre au bien-être financier des médecins, mais aussi des membres de leur famille. Nous espérons que vous serez des nôtres au prochain épisode, qui portera sur la préparation de la retraite. Une fois de plus, ici Karen Ruel. À la prochaine!

Vous venez d’écouter le balado Littératie Financière, une présentation de Gestion financière MD.

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