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Balado : La préparation à la retraite des médecins

Que vous soyez un vieux de la vieille ou tout juste sorti de la résidence, il est important d’avoir un bon plan d’épargne pour la retraite afin de vous assurer que vous et votre famille ne manquiez jamais de rien. Dans cet épisode, animé par Sebastien Desbiens en compagnie de Ariane Denis, nous parlerons de comment se préparer à la retraite quand on est médecin. Pour consulter les avertissements juridiques et obtenir la transcription de cet épisode, rendez-vous à :

 

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Vous écoutez le balado Littératie Financière, une présentation de Gestion financière MD.

La seule société pancanadienne de services financiers qui se consacre au bien-être financier des médecins et des membres de leur famille.

SD : Bonjour chers auditeurs! Bienvenue à ce nouvel épisode du balado Littératie Financière. Si vous nous écoutez pour la première fois, sachez que cette série de balados est une façon pour Gestion financière MD d’aider les médecins et leur famille à mieux comprendre leurs finances. Les conseillers de MD comprennent les besoins uniques des médecins en matière de planification financière et savent exactement quelles ressources leur proposer pour faciliter l’atteinte de leurs objectifs personnels et professionnels.

Je m’appelle Sebastien Desbiens. Je suis très heureux d’être à la barre de l’épisode d’aujourd’hui, qui porte sur la planification pour la retraite lorsqu’on est médecin. Que vous soyez un vieux de la vieille ou tout juste sorti de la résidence, il est important d’avoir un bon plan d’épargne pour la retraite afin de vous assurer que vous et votre famille ne manquiez jamais de rien.

Pour nous offrir son avis d’expert sur cette question, nous avons avec nous  Ariane Denis. Merci beaucoup d’être avec nous aujourd’hui!

AD : Merci de l’invitation Sebastien. Je suis très heureux de pouvoir parler à nos auditeurs du merveilleux monde de la retraite, qui est plus dynamique qu’il n’en a l’air.

Je sais que les médecins travaillent très fort pour les autres tout au long de leur carrière, alors notre but est qu’ils sachent qu’on s’occupe aussi d’eux, et qu’ils soient prêts et bien informés au moment d’entamer le prochain chapitre de leur vie, peu importe la forme qu’il prendra.

SD : C’est formidable. Et c’est d’autant plus important pendant la pandémie, alors qu’ils continuent de prendre soin de nous malgré toute l’incertitude qui règne. Ils doivent avoir un plan auquel s’accrocher pour ne pas perdre le fil.

AD : Tout à fait!

SD : J’imagine qu’un bon point de départ serait d’expliquer pourquoi la planification pour la retraite est si différente pour les médecins.

AD : Bonne idée! Nous savons tous que devenir médecin requiert une longue formation, qui n’est vraiment pas donnée. Ce que ça signifie, c’est que les médecins ont tendance à commencer à exercer leur profession, et donc à gagner leur vie, beaucoup plus tard que la moyenne. Et pendant les premières années, la plupart des médecins ont d’énormes dettes d’études à rembourser. Bien sûr, certains font le choix de cotiser à leur fonds de retraite et de rembourser leurs dettes simultanément, mais pour la plupart, le gros de l’épargne ne vient que beaucoup plus tard.

Et il ne faut pas oublier que de nombreux médecins prennent leur retraite plus vieux que la moyenne. En fait, selon une récente étude de MD, 38 % des médecins actuellement en exercice ne s’attendent pas à prendre leur retraite avant 65 ans.

En plus, la plupart n’ont pas accès à un régime de retraite de l’employeur et doivent donc constituer eux-mêmes leur fond de retraite.

Pris tous ensemble, ces facteurs démontrent bien que les médecins et leur ménage doivent planifier très stratégiquement s’ils veulent s’assurer d’avoir ce qu’il leur faudra pour prendre soin d’eux-mêmes et de leurs êtres chers.

SD : C’est bien vrai. Et comme nous le savons, qui dit planification stratégique dit conseiller financier.

AD : Exactement.

SD : Et pourquoi donc?

AD : Et bien, la planification de la retraite est un peu comme un casse-tête, et les conseillers de MD peuvent en assembler tous les morceaux pendant que le médecin s’occupe de ce qui compte pour lui, comme ses proches, ses objectifs et sa carrière.

SD : Fantastique. Avant d’aborder les stratégies d’épargne-retraite à proprement dit, peux-tu nous en dire plus sur les différents morceaux du casse-tête?  De quoi les médecins et leurs conseillers parlent-ils?

AD : Et bien, dans un plan de retraite, il y a beaucoup d’autres facteurs à considérer au-delà de l’argent à mettre de côté. C’est certain que l’objectif d’épargne, c’est un gros morceau, mais votre conseiller doit disposer d’informations essentielles pour vous aider à établir cet objectif, par exemple ce que vous entendez faire à la retraite.

Lorsque vous rencontrez un conseiller, la première chose qu’il demande est « comment envisagez-vous votre retraite? » Ensuite, il évalue vos finances pour déterminer si vous êtes en mesure de vous permettre cette retraite en fonction de vos avoirs et de votre stratégie actuelle, si vous en avez une.  Et si vos objectifs sont encore un peu flous, un bon conseiller vous aide aussi à les préciser.

Si vous êtes comme la plupart des médecins, vous tirerez la très grande majorité de vos revenus de retraite de votre REER, de votre CELI, de votre portefeuille de placements personnel, etc. Et si vous exercez en société, vous détiendrez probablement la plupart de vos actifs dans votre compte d’entreprise. Dans tous les cas, votre conseiller pourra vous aider à déterminer la meilleure façon d’équilibrer votre épargne pour maximiser les avantages fiscaux actuels et futurs.

Et si vous exercez en société, vous devez planifier la façon dont vous entendez vous rémunérer lorsque vous cesserez vos activités. Comme votre pratique ne vous rapportera plus d’argent, vous pourriez vous verser des dividendes plutôt qu’un salaire. Vous pourriez aussi fermer votre cabinet et transformer votre société en société de portefeuille, ou même la dissoudre et vendre vos actifs. Votre conseiller financier et votre fiscaliste pourront vous guider vers les options qui correspondent le mieux à vos objectifs et vous tracer la voie à suivre.

Un autre aspect important de votre planification financière est votre legs. Vous pourriez décider de laisser un héritage à un conjoint, à vos enfants ou à d’autres proches à votre décès. Votre conseiller pourra vous aider à jongler entre vos objectifs personnels et les besoins de vos bénéficiaires. Ils pourront également vous aider à optimiser les obligations fiscales présentes et futures, afin que vos proches puissent profiter au maximum de ce que vous leur laissez.

Et n’oubliez pas qu’un plan financier, ce n’est pas coulé dans le béton. Si votre vie change en cours de route, par exemple si vous décidez de déménager, si vous divorcez ou si vous recevez un gros héritage, vous pourrez toujours contacter votre conseiller pour ajuster votre plan et rester sur la bonne voie pour atteindre vos objectifs.

SD : Fan-tas-tique! Bon, ce que j’entends, c’est qu’il y a plusieurs façons de se constituer un fonds de retraite. Et les médecins, qui doivent le faire eux-mêmes, ont accès à de nombreux outils qu’ils peuvent combiner. Parlons-en, de ces solutions.

AD : Tout à fait.

La plupart sont les mêmes auxquelles monsieur et madame tout le monde ont accès. Le CELI, par exemple, est très populaire parce que les retraits se font en franchise d’impôt et qu’on peut utiliser l’argent pour n’importe quoi.  

Il y a aussi des produits comme le REER et le FERR, qui sont conçus spécifiquement pour l’épargne-retraite et qui sont aussi très populaires.

SD : Le REER et le FERR, ce sont deux choses distinctes?

AD : En quelque sorte… Ce sont deux types de comptes différents, mais qui utilisent les mêmes fonds.

REER signifie « régime enregistré d’épargne-retraite ». L’argent que vous y cotisez y demeure et croit tout au long de votre vie.

À 71 ans, vous devez convertir votre REER en FERR, qui signifie « fonds enregistré de revenu de retraite ». Vous pouvez également choisir de transférer vos fonds vers une rente, ou de retirer le solde complet. Le FERR permet toutefois à vos fonds de continuer à croître. Vous ne retirez que ce dont vous avez besoin, et évitez donc de payer de l’impôt en trop.

La principale différence est que le FERR ne permet pas de faire des cotisations, uniquement des retraits. C’est ici que la diversification prend tout son sens, car si vous travaillez toujours à 71 ans, vous pourrez continuer à cotiser ailleurs.

Une chose à ne pas oublier, c’est qu’une fois votre REER converti en FERR, il y a un retrait annuel minimum à respecter. Par exemple, pour l’année civile où vous atteignez 71 ans, vous devez retirer 5,28 % de la valeur du FERR au 31 décembre de l’année précédente. Et ce pourcentage augmente chaque année, ce qui veut dire que vous devez retirer de plus en plus et donc payer de plus en plus d’impôt. Cela signifie également que plus vous convertissez votre compte tôt, plus les retraits commencent tôt, et plus vous payez d’impôts au fil du temps.

Cependant, vous pouvez également retarder le retrait des fonds de votre FERR si vous êtes marié et que votre conjoint est plus jeune que vous en basant votre calendrier de retrait sur son âge.

La conversion en elle-même est très simple. L’institution financière qui détient votre REER communiquera avec vous lorsque le moment sera venu et vous fournira des documents à remplir. Si vous n’effectuez pas la conversion avant votre 71e anniversaire, votre REER sera désenregistré, et les conséquences fiscales pourraient être lourdes.

SD : D’accord, et que l’on retire d’un REER ou d’un FERR, ces retraits sont imposés comme un revenu, n’est-ce pas?

AD : C’est exact.

SD : Et ces comptes fonctionnent de la même façon que l’on soit médecin ou non. Y a-t-il des outils d’épargne qu’un médecin doit envisager un peu différemment?

AD : Oui. La raison pour laquelle la plupart des médecins doivent financer leur propre retraite qu’ils n’ont pas accès à un régime privé.

Au Canada, nous avons le RPC, le Régime de pensions du Canada. Le Régime de rentes du Québec fonctionne essentiellement de la même façon. Pour avoir droit aux prestations du RPC ou du RRQ à la retraite, il suffit d’avoir cotisé au régime pendant que vous étiez employé.

En général, les cotisations sont réparties à parts égales entre vous et votre employeur, et votre part est automatiquement déduite de votre salaire. Cependant, comme les médecins sont des travailleurs autonomes, ils sont responsables de 100 % de leurs cotisations au RPC ou au RRQ.

Et le hic, c’est que le revenu de pension est basé uniquement sur le salaire. Cela signifie que les médecins qui choisissent de se rémunérer en dividendes ne sont pas admissibles au RPC ni au RRQ. Mais ceux qui ont cotisé sont admissibles aux prestations dès l’âge de 60 ans.

SD : Et comment les prestations du RPC et de RRQ sont-elles calculées?

AD : Le montant de la prestation mensuelle est fondé sur le nombre d’années au cours desquelles vous avez cotisé et sur le montant de ce qu’on appelle les « gains annuels ouvrant droit à pension ».

Le paiement mensuel moyen pour une personne de 65 ans est d’un peu plus de 700 dollars par mois, mais c’est indexé au coût de la vie.

Pour recevoir ces prestations, il faut les demander. Comme je l’ai mentionné plus tôt, il est possible de le faire à partir de 60 ans, mais il y a des avantages à attendre. D’abord, le fait de retarder le versement de vos prestations signifie que vos paiements mensuels seront plus importants puisque vos fonds sont versés sur une plus courte période. Ensuite, vos revenus antérieurs sont actualisés pour être évalués à l’année où vous commencez à percevoir vos prestations. Plus vous attendez, plus cet ajustement sera élevé. Quelqu’un qui attend jusqu’à 70 ans pourrait recevoir 50 % de plus que s’il commençait à 65 ans, soit l’âge moyen.

SD : Ce sont toutes de bonnes options. Et juste pour revenir sur ce que tu me disais à propos de la planification... qu’un conseiller serait en mesure de déterminer comment combiner le tout de la façon la plus stratégique possible. Peux-tu préciser ta pensée?

AD : Avec grand plaisir. Comme nous le disions, les mécanismes de retrait sont différents pour chacun de ces types de comptes ou de placements. Ça signifie qu’il y a un ordre optimal pour les retraits, et que cet ordre dépend de vos objectifs.

Supposons que vous souhaitiez minimiser les impôts à payer à la retraite. Dans ce cas, vous voudrez probablement commencer par retirer des fonds de votre CELI, car ils seront libres d’impôt. Ensuite, vous pourrez passer à votre portefeuille personnel et, si vous en avez un, à votre compte d’entreprise. La clé ici est de garder le RPC, le RRQ, le REER et le FERR pour la fin, car, comme nous l’avons mentionné précédemment, ces retraits sont entièrement imposables. Mais gare à ne pas oublier le pourcentage de retrait annuel obligatoire du FERR.

Si votre objectif est de préserver votre patrimoine et de laisser le plus gros héritage possible à vos bénéficiaires, vous pourriez adopter la stratégie inverse. Vous allez alors retirer tous vos revenus de retraite imposables en premier, donc votre RPC, votre REER, votre FERR, et garder votre CELI pour la fin. Comme ça, vos bénéficiaires n’auront pas à payer d’impôt sur leur héritage.

Votre conseiller pourrait aussi vous recommander de consolider vos comptes. Si vous avez de multiples REER et CELI répartis dans plusieurs institutions financières, vous risquez de vous retrouver avec un beau casse-tête. Un conseiller peut vous aider à regrouper vos comptes afin qu’ils soient plus faciles à gérer, ce qui vous permettra de mieux évaluer la répartition de vos actifs. Un autre avantage de cette technique est qu’elle entraîne souvent une baisse des frais à payer.

SD : Et je suppose que le temps est un facteur de premier plan dans la stratégie de retraite? Nous avons parlé plus tôt du fait que tout est décalé pour les médecins parce qu’ils commencent leur carrière, et prennent leur retraite, plus tard que la moyenne des gens. Comment peuvent-ils déterminer le bon moment pour prendre leur retraite?

AD : C’est une question difficile, principalement parce que personne n’est exactement dans la même situation. Ça dépend vraiment des objectifs de la personne et de son idée d’une retraite confortable. Cela dit, il y a des indicateurs qui permettent de déterminer si vous pouvez vous permettre de mettre la pédale douce ou si vous devez encore attendre quelques années.

Vous devez d’abord vérifier l’état de vos finances. Est-ce que tout est en ordre? Avez-vous épargné assez pour maintenir le train de vie souhaité? Y a-t-il encore des personnes à charge qui dépendent de vous? Votre conjoint est-il déjà à la retraite? Si c’est le cas, comment vos fonds de retraite se combineront-ils? Avez-vous une réserve en cas d’urgence médicale ou autre? Après tout, vous ne rajeunissez pas.

Sans blague, la santé est un facteur clé lorsqu’il est question de retraite. Être médecin, c’est très exigeant. Votre santé physique et psychologique ne sont peut-être plus ce qu’elles étaient. Votre situation vous permet-elle de ralentir la cadence pour prendre soin de vous-même?

Prévoyez-vous des changements ou des événements importants dans votre vie qui nécessiteraient quelques années d’épargne de plus, comme des rénovations majeures ou un déménagement? Ou peut-être que vous voulez aider vos enfants à payer leurs études, leur mariage ou même leur première maison. Si c’est le cas, peut-être que vous préférerez travailler quelques années de plus plutôt que de devoir piger dans votre fonds de retraite pour ces choses.

Quelle que soit votre situation personnelle, la meilleure chose à faire pour déterminer le bon moment pour prendre votre retraite est d’en parler à votre conseiller. Il fera des projections et veillera à ce que vous n’ayez pas de mauvaise surprise le temps venu.

SD : Absolument. Nous arrivons déjà à la fin de l’épisode, mais avant de conclure, as-tu un dernier conseil pour nos auditeurs?

AD : Oui. S’il y a une chose à retenir de l’épisode d’aujourd’hui, c’est qu’il n’est jamais trop tôt pour commencer à planifier sa retraite. À titre de médecin, vous aurez des millions de choses à payer. Votre parcours financier est tellement unique, avec les dettes d’études, les coûts de formation et les dépenses professionnelles, et ça c’est en plus des coûts « normaux » comme la famille, le domicile, etc.

Faites en sorte que vos dernières années de carrière soient moins stressantes en planifiant et en vous préparant le plus tôt possible. Et n’oubliez pas que les conseillers professionnels de MD sont là pour vous aider. Ils comprennent à quel point les médecins travaillent dur pour aider les autres et s’engagent donc à faire en sorte que votre retraite soit un moment agréable et gratifiant pour vous.

SD : Génial. Ariane, merci encore de t’être joint à nous aujourd’hui. Ce fut un plaisir de discuter avec toi.

AD : Merci à toi. J’ai eu beaucoup de plaisir, et j’espère avoir pu aider quelques auditeurs.

SD : Je n’ai aucun doute que c’est le cas. Et parlant de nos auditeurs, un grand merci à tous de nous avoir écoutés. Une fois de plus, ici Sebastien Desbiens. Au prochain épisode, nous aborderons la question de la planification successorale pour les médecins. Si vous avez aimé les informations sur la retraite, ne manquez pas ce rendez-vous. D’ici là, prenez soin de vous. À la prochaine!

Vous venez d’écouter le balado Littératie Financière, une présentation de Gestion financière MD.

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