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Termes financiers : P-R

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P

Obligation de fournir ou de rembourser de l’argent, des biens ou des services à une date ultérieure. Voir aussi « actif ». 
Dettes ou autres obligations qu’une entreprise aura encore dans un an.
Dettes exigibles dans les douze mois suivant la date de clôture de l’exercice ou de l’année civile. Voir aussi « actifs à court terme ».
Valeur totale de l’actif (épargne, placements, immobilier, etc.) détenu par une personne, moins la valeur totale de son passif ou de ses dettes. 
Période (généralement prédéterminée) dont un emprunteur dispose pour rembourser un prêt ou un emprunt hypothécaire. La période d’amortissement habituelle est de 25 ans.
Lorsque le prix de rachat d’une immobilisation est inférieur au prix de base rajusté. Une perte en capital est subie lors de la cession d’une immobilisation (ex. action, obligation, terrain) à un prix inférieur à son coût d’acquisition. Au Canada, 50 % des pertes en capital peuvent être utilisées pour réduire le gain en capital imposable. Voir aussi « gain en capital ».
Utilisation d’argent en vue de faire un profit. 
Produit de placement qui privilégie la plus-value. La croissance du placement est souvent fonction du risque de ce dernier.
Placement qui ne peut être retiré avant l’échéance. 
Plan prévoyant la souscription automatique de titres de fonds communs de placement à intervalles réguliers.
Processus à plusieurs étapes visant l’atteinte des objectifs financiers du client. Comprend l’établissement des objectifs, l’analyse de sa situation financière, la formulation de recommandations et l’application de ces recommandations. Les recommandations sont personnalisées et peuvent porter sur le budget, les placements, la planification de la retraite, la gestion du risque, la réduction de l’impôt et la planification successorale. La planification financière implique aussi un suivi des recommandations et leur réajustement périodique.  
1. Différence entre la valeur réelle d’un bien et la valeur que lui attribue le marché, celle-ci étant supérieure. Voir aussi « moins-value ».
2. Augmentation de la valeur d’un actif au fil du temps. Voir aussi « moins-value ». 
Unité désignant un centième d’un pour cent. 100 points de base correspondent à 1 %.
Politique gouvernementale reposant sur la prise de décisions en matière de dépenses publiques et de fiscalité et qui vise à orienter l’activité économique.
Énoncé des objectifs d’un portefeuille de fonds communs de placement auxquels souscrit son gestionnaire.
Énoncé de mission qui dicte comment un fonds de placement doit être géré. 
1. Fonds commun de placement qui investit dans d’autres fonds communs de placement au lieu d’acheter des titres directement.
2. Groupe de titres diversifiés qui peut comprendre des actions, des obligations, des titres du marché monétaire et des produits dérivés. 
Position de solde négatif créé lorsqu’un investisseur vend un placement qu’il ne possède pas. Une position vendeur se produit lorsque l’investisseur s’attend à ce que la valeur du placement chute. Les positions négatives sont considérées comme étant courtes. Voir aussi « position longue ». 
Dit d’un placement lorsqu’un investisseur en fait l’acquisition et s’attend à ce que sa valeur augmente avec le temps. Voir aussi « position courte ». 
Valeur d’une monnaie, déterminée par la quantité de biens et de services qu’une unité de cette monnaie permet d’acquérir. Lorsque la valeur de la monnaie diminue, les consommateurs achètent moins de biens et de services avec la même somme d’argent.
Achat automatisé de placements qui a lieu à une fréquence prédéterminée.  
Fait pour une entreprise d’offrir ses titres au grand public pour la première fois, généralement par une cotation en bourse. Les titres acquis lors d’un PAPE sont d'abord achetés directement auprès de l’entreprise, puis négociés entre investisseurs par la suite.  
Somme payable aux bénéficiaires d’une personne décédée. Le montant de la prestation d’une assurance-vie temporaire est fixé d’avance.
Prêt immobilier garanti par un bien immobilier qui exige que l’acheteur (le débiteur hypothécaire) rembourse sa dette, en plus de l’intérêt, au créancier hypothécaire sur une période prédéterminée. Voir aussi « prêt hypothécaire fermé » et « prêt hypothécaire ouvert ». 
Prêt immobilier qui ne permet pas à l’emprunteur d’effectuer des paiements anticipés, à moins de payer une surcharge. Voir aussi « prêt hypothécaire » et « prêt hypothécaire ouvert ». 
Prêt hypothécaire dont le capital ne dépasse pas 80 % du prix d’achat de la propriété ou de sa valeur estimative, si elle est inférieure. Si l’acheteur doit emprunter plus de 80 % du prix d’achat ou de la valeur estimative, il doit demander un « prêt hypothécaire à ratio élevé ».
Prêt immobilier que l’emprunteur peut rembourser en totalité sans pénalité avant la date d’échéance. Voir aussi « prêt hypothécaire » et « prêt hypothécaire fermé ». 
Estimation de ce qui arrivera. Dans un contexte financier, il peut s’agir des bénéfices prévus pour l’année à venir ou du prix de vente d’un titre à la fin de l’année.
Paiement reçu par un investisseur lors de la vente d’un contrat d’option (c’est-à-dire le paiement reçu par le vendeur du contrat d’option). 
Somme que paie le souscripteur d’un contrat d’assurance. Voir aussi « prime » et « prime sur fonds de placement ».
Somme que l’émetteur verse à un investisseur en sus de la valeur nominale d’un actif remboursé avant l’échéance.
Excédent du prix payé par l’investisseur sur la valeur liquidative du fonds. Voir aussi « prime » et « prime d’assurance ».
Prix d’un produit dérivé. Voir aussi « prime d’assurance » et « prime sur fonds de placement ».
Processus par lequel un courtier en valeurs mobilières achète un nouveau titre et assume le risque de le vendre sur les marchés au prix désiré. Dans le cas d’un placement pour compte, le courtier ne garantit pas la vente partielle ou complète du titre. 
Coût initial d’un actif auquel s’ajoutent les dépenses engagées (p. ex. les frais ou les commissions) pour en faire l’acquisition, plus les distributions réinvesties, moins les rachats. Le PBR sert à déterminer les gains ou les pertes aux fins de l’impôt.
Prix qu’un investisseur paie par titre individuel. Le prix unitaire comprend les frais d’acquisition.
Document juridique qui autorise une personne à prendre des décisions financières, personnelles ou juridiques à la place d’une autre personne lorsqu’elle est dans l’incapacité de le faire. 
Actif financier (comme un contrat d’option ou un contrat à terme standardisé) dont la valeur repose sur le rendement d’un autre titre ou actif. 
Valeur marchande de tous les biens et services produits par un pays au cours d’une période donnée. Au Canada, le PIB comprend le produit des citoyens étrangers vivant au Canada, mais exclut celui des citoyens canadiens vivant à l’extérieur du pays. 
Valeur en dollars de tous les biens et services produits par une économie, ajustée en fonction de l’inflation.
Produits financiers gérés autres que des fonds communs de placement. Par exemple : fonds négociés en bourse, fonds de couverture, billets à capital protégé, fonds marché à terme, société d’investissement à capital fixe, fonds à revenu, fonds fiduciaires et fonds distincts. Même si l’actif qui les compose est similaire à celui de fonds communs de placement, ces portefeuilles à gestion professionnelle présentent dans certains cas un risque plus élevé.
Caractéristiques de risque d’un investissement particulier.
Gain financier réalisé une fois payés les charges et impôts de la société. Les dividendes sont tirés des profits.
Retraits prélevés régulièrement et automatiquement sur les placements d’un investisseur. Les fonds retirés viennent habituellement compléter un revenu de retraite ou celui tiré de placements à revenu fixe.
Document d’information qui énonce le cadre juridique applicable au placement d’une valeur mobilière. On y fait état de la situation financière de l’émetteur, explique le moyen de mobilisation des capitaux et leur utilisation, présente les risques associés pour les investisseurs, etc.
Document juridique qui donne aux investisseurs l’information essentielle sur un fonds commun de placement, par exemple : objectifs, facteurs de risque, frais, méthode de distribution.
Épargne d’investisseurs individuels, institutionnels ou étrangers.

Q

R

Communication écrite qu’un auditeur indépendant délivre au terme de sa vérification de l’exactitude et de l’uniformité des états financiers d’une société.
Relevé qui résume les activités de crédit d’une personne, comme son utilisation du crédit et ses dettes. 
Quotient obtenu en divisant le cours d’une action d’une entreprise par le bénéfice par action (BPA). Ce ratio indique le cours d’une action en fonction du bénéfice du dernier exercice écoulé et des prévisions de bénéfice pour l’exercice qui suit.
Ratio indicateur de la capacité de la société à payer les intérêts sur sa dette.
Somme dont le calcul est exigé en vertu du règlement 81-102 (une norme adoptée dans toutes les provinces et tous les territoires du Canada) et qui comprend les frais de gestion et les dépenses d’un fonds de placement. Le RFG permet aux investisseurs de comparer les frais de gestion et autres dépenses associées aux fonds communs et autres produits de placement. 
Ratio indicateur de la capacité d’une entreprise de régler ses obligations à court terme, calculé en divisant les actifs courants par le passif courant. Voir aussi « ratio de liquidité générale ».
Calcul qui détermine la liquidité d’une entreprise en divisant ses actifs à court terme par ses passifs à court terme. Voir aussi « ratio de liquidité » et « ratio du fonds de roulement ».
Ratio, comprenant des mesures de rentabilité et d’efficacité, qui indique à quel point une entreprise utilise les ressources et maîtrise les coûts adéquatement. 
Pourcentage de remplacement des actifs totaux d’un fonds au cours d’une année.
Ratio de structure financière qui indique le risque d’une entreprise en calculant la proportion relative de son financement par emprunt et de son financement par capitaux propres. Ratio dettes/capitaux propres = dettes totales / capitaux propres détenus par l’actionnaire
Calcul qui détermine la liquidité d’une entreprise en divisant les actifs à court terme par les passifs à court terme. Voir aussi « ratio de liquidité générale ». 
Indicateurs utilisés pour évaluer la valeur des actions d’une entreprise et la comparer à celle d’autres entreprises.
Régime enregistré d’épargne-retraite auquel le conjoint peut cotiser pour réduire son impôt grâce au fractionnement du revenu. 
Régime enregistré d’épargne-retraite (REER) qui empêche le titulaire d’effectuer des retraits avant d’atteindre un âge déterminé, qui varie selon la province de résidence. Aussi appelé « compte de retraite immobilisé ».
Régime de retraite parrainé par l’employeur qui définit les prestations de retraite en fonction de la somme que l’employé cotise au fil de sa carrière. L’employeur verse généralement un montant équivalent aux cotisations de l’employé.  
Régime de retraite à prestations définies prévoyant un montant défini de prestations pour chaque année de service du participant.
Régime d’épargne établi par un employeur qui verse des prestations aux employés à la retraite. Les RPA sont enregistrés auprès de l’Agence du revenu du Canada, et les cotisations de l’employeur et de l’employé sont déductibles d’impôt. 
Régime enregistré d’épargne-retraite offert aux employés d’un employeur participant ou à des travailleurs autonomes, qui n’ont pas accès à un régime de retraite d’employeur. Avec un RPAC, les membres profitent de frais d’administration comparables à ceux de grands régimes collectifs.
Régime de retraite fédéral auquel cotisent toutes les personnes qui travaillent et résident au Canada (sauf au Québec). Les cotisants admissibles peuvent toucher les prestations du RPC dès l’âge de 60 ans. Voir aussi « Régime de rentes du Québec (RRQ). » 
Contrat de financement provincial prévoyant une enveloppe budgétaire globale au lieu d’une rémunération à l’acte.
Régime de pension géré par le gouvernement, presque identique au Régime de pensions du Canada (RPC), qui verse une prestation mensuelle de retraite, d’invalidité ou de survivant aux travailleurs de la province de Québec. Comme pour le RPC, la cotisation au RRQ est obligatoire pour les travailleurs de 18 ans et plus. Voir aussi « Régime de pensions du Canada (RPC) ». 
Régime de retraite parrainé par l’employeur qui définit les prestations de retraite éventuelles de l’employé. Les prestations déterminées sont habituellement calculées en fonction du nombre d’années de service et du salaire moyen ou du salaire annuel au moment de la retraite. 
Régime d’épargne à impôt différé qui sert au financement des études postsecondaires de son bénéficiaire. Les cotisations au REEE ne sont pas déductibles d’impôt, mais le gouvernement fédéral verse une subvention équivalente à 20 % de la première tranche de 2 500 $ cotisés annuellement. Voir aussi « Subvention canadienne pour l’épargne-études (SCEE) ».   
Régime d’épargne-retraite auquel un contribuable peut cotiser une partie de son revenu admissible, jusqu’à un maximum annuel établi par le gouvernement fédéral. Les fonds fructifient à l’abri de l’impôt jusqu’à leur retrait. Ils sont alors imposés, qu’il s’agisse d’un revenu régulier ou d’un revenu d’intérêt, de gains en capital ou de dividendes. 
Régime de retraite à prestations définies dans lequel les prestations sont établies en fonction du salaire attribué sur l’ensemble de la carrière de l’employé.
Rendement d’une obligation sur toute sa durée, en assumant que les versements de coupons sont réinvestis jusqu’à l’échéance. Ce rendement tient compte de la valeur nominale, du taux d’intérêt nominal, du temps restant avant l’échéance et du cours du marché. 
Calcul consistant à additionner des rendements générés sur une année ou sur plusieurs années en une somme qui est ensuite divisée par le nombre d’années pour obtenir un taux de rendement annuel.
Pourcentage obtenu en divisant les dividendes par action qu’une société a distribués au cours d’un exercice par le cours actuel de l’action de cette société.
Rendement d’un actif sous-évalué duquel on soustrait le taux de rendement qu’un investisseur peut s’attendre à recevoir d’un placement ne comportant aucun risque.
Mesure du taux de rendement qui tient compte de tous les flux de trésorerie et de tous les changements dans la valeur du titre pendant la période de détention de l’actif ou des actifs du portefeuille. 
1. Changement de valeur d’un titre sur une période donnée plus les retraits en liquidités, comme les dividendes ou l’intérêt. Voir aussi « taux de rendement ». 
2. Perte ou profit provenant d’un placement et exprimé sous forme de rapport en pourcentage. Dans le cas d’une obligation, le rendement tient compte du cours de l’obligation et des versements de coupons jusqu’à l’échéance. 
Produit d’assurance qui verse à intervalles réguliers un montant fixe fondé sur la valeur des cotisations. Voir aussi « rente » et « rente variable ». 
Produit d’assurance dont le montant des prestations varie selon les conditions du marché. Voir aussi « rente » et « rente fixe ». 
Produit d’assurance qui garantit des prestations pour la vie durant du rentier. Voir aussi « rente ». 
Redevance versée à un investisseur par une société d’assurance vie, calculée en fonction du montant initial investi et d’une formule prédéterminée. Les versements sont constitués d’une combinaison du montant original cotisé et de revenu sur les placements. Ils sont versés sur une période fixe ou pour la vie du rentier. Voir aussi « rentier ». 
Titulaire d’un contrat d’assurance structuré qui reçoit une redevance. Voir aussi « rente ». 
Division d’un assortiment de placements dans un portefeuille parmi différentes catégories d’actifs ou différents types de titres. En général, il s’agit du pourcentage d’actions (considérées comme un placement plus risqué), d’obligations (considérées comme un placement à faible risque) et de trésorerie.
Processus de division des actifs au sein d’un portefeuille entre plusieurs types de valeurs mobilières, catégories d’actifs ou régions, en fonction d’une série de critères.
Répartition de l’actif résultant d’un profil risque-rendement aligné sur le comportement du client. Affichant généralement un risque moins élevé, elle vise à rassurer le client.
Stratégie de constitution de portefeuille où une répartition cible est établie et maintenue au fil du temps. Les cibles sont établies selon divers facteurs, notamment la tolérance au risque de l’investisseur, son horizon temporel et ses objectifs ainsi que le risque et le rendement attendus des différentes catégories d’actifs.
Action de faire passer à une période future une somme inutilisée (droits de cotisation, déduction fiscale, crédit d’impôt). Par exemple, les droits de cotisation inutilisés au régime enregistré d’épargne-retraite (REER) d’une année donnée s’ajoutent à ceux des années suivantes.
Responsabilité d’un conseiller de s’assurer que chaque client effectue des placements qui lui conviennent. Cette responsabilité est énoncée dans toutes les lois provinciales sur les valeurs mobilières.
Revenu généré lorsqu’un emprunteur paie le créancier pour le prêt, généralement sous forme de titres à revenu fixe. 
Revenu provenant des dividendes versés aux détenteurs d’actions ordinaires et privilégiées. 
Montant d’argent restant après avoir soustrait les dépenses fixes des revenus provenant de l’emploi, des rentes et des placements. 
Rémunération qu’un particulier tire d’un emploi, moins les cotisations à l’assurance-emploi, au régime de retraite ou à un régime de placements. 
Revenus tirés de fonds de titres à revenu fixe sous forme d’intérêts ou de dividendes, versés régulièrement. Les porteurs de parts utilisent ces revenus pour régler leurs dépenses courantes.
Probabilité que le rendement réel d’un investissement diffère du rendement attendu.
Risque qu’une fluctuation imprévue des taux de change ait des conséquences défavorables sur la valeur des paiements en liquidités provenant d’une source étrangère ou sur la valeur des actifs étrangers. Les placements mondiaux, ou les placements détenus en devises étrangères, sont exposés à ce risque. (Aussi appelé risque de devise)
Exposition excessive à un placement, à un secteur, à un pays ou à une région. On parle plus familièrement du fait de « mettre tous ses œufs dans le même panier ».
Risque qu’un débiteur manque à ses obligations relatives à un instrument d’emprunt, notamment en n’effectuant pas le paiement des intérêts, des dividendes ou du principal lorsqu’ils sont dus.
Variations dans les marchés des valeurs mobilières qui ont un effet même sur les fonds communs les plus diversifiés. Un marché baissier nuit à tous les fonds d’actions, sans exception. 
Risque de variation de la valeur d’un titre portant intérêt en raison des fluctuations des taux d’intérêt. Lorsque les taux d’intérêt augmentent, la valeur des titres à revenu fixe diminue. Lorsque les taux d’intérêt diminuent, la valeur des titres à revenu fixe augmente.
Risque non lié au marché qui est souvent associé aux placements dans des fonds de couverture (levier financier, liquidité restreinte).
Risque lié à une baisse ou à des fluctuations généralisées sur les marchés (volatilité).

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