Date à laquelle la valeur nominale d’une obligation doit être payée au porteur de l’obligation.
Formulaire que les particuliers et les entreprises doivent remplir et envoyer chaque année à l’Agence du revenu du Canada (et à Revenu Québec, dans le cas des résidents du Québec) et où figure leur revenu gagné ainsi que l’impôt à payer ou à leur être remboursé. Voir aussi « Agence du revenu du Canada ».
Situation qui se produit lorsque le montant retiré dépasse le solde du compte sur lequel il est prélevé. Lorsque ce solde est inférieur à zéro, la banque accorde un prêt au client (ligne de crédit) pour couvrir les opérations effectuées sur le compte. Parfois, cette protection est offerte moyennant des frais.
Diminution du niveau moyen des prix des biens et services. Bien que rare, la déflation se produit lorsque le taux d’inflation, mesuré par l’indice des prix à la consommation global, tombe en dessous de 0 %. Voir aussi « inflation ».
Opération faite sur des titres sur lesquels le négociateur possède des informations privilégiées dont il tire profit avant qu’elles soient connues du public.
Quantité d’un produit ou d’un service demandé par les acheteurs pour un prix donné. Voir aussi « offre ».
Diminution du taux d’inflation, ou ralentissement de la hausse du niveau moyen des prix.
Qualité d’une cotisation se trouvant dans un régime de pension d’employeur ou un régime d’actionnariat des salariés.
Cession théorique d’un bien, même si une vente n’a pas eu lieu. Une disposition réputée s’opère lors d’un transfert d’actifs en nature ou lorsqu’un contribuable quitte définitivement le Canada ou décède.
Stratégie de placement visant à réduire le risque qu’un événement économique fasse fléchir simultanément tous les placements d’un portefeuille. Un portefeuille peut être diversifié en termes de pays, de secteurs économiques et d’entreprises dans lesquels il investit. L’objectif de la diversification est d’assurer l’appréciation de certains placements lorsque d’autres se déprécient.
Montant dont le versement aux actionnaires d’une entreprise se fait généralement annuellement.
Document créé ou conservé dans un système informatique et pouvant être transféré au moyen d’un réseau informatique.
Droit qui permet à un porteur de parts d’un fonds commun de placement de retirer les placements qu’il détient dans le fonds contre un montant en liquidités équivalent à la valeur liquidative des parts vendues. Le fonds a jusqu’à la date de règlement, soit la date où l’opération est considérée comme conclue, pour payer l’investisseur (habituellement un à trois jours).
Somme maximale des cotisations à un compte enregistré (REER, compte d’épargne libre d’impôt). Les droits de cotisation correspondent à la somme du montant maximal établi par le gouvernement fédéral pour l’année en cours et des droits inutilisés des années précédentes. Les droits inutilisés peuvent être reportés indéfiniment. Voir « report ».
Mesure de la sensibilité d’une obligation ou d’un portefeuille obligataire aux variations de taux d’intérêt. Plus la duration est élevée (c’est-à-dire longue), plus la valeur de l’obligation sera sensible aux variations des taux d’intérêt, et inversement. La duration se mesure en années.
Théorie selon laquelle les cours boursiers reflètent l’intégralité des informations disponibles à tout moment et le prix des titres correspond à leur juste valeur.
Énoncés des commissions des valeurs mobilières constituant une politique ou un règlement sur une question. Par exemple : méthodes uniformes, politiques provinciales, politiques nationales et normes canadiennes/règlements.
Revenu non dépensé. Autrement dit, c’est l’excédent de revenus dont un ménage ou une société dispose après avoir réglé ses dépenses courantes.
État financier détaillé qui décrit l’actif, le passif et les actions d’une entreprise à une date précise.
État financier détaillé qui décrit les revenus et les dépenses (p. ex., les gains et les pertes non réalisés) qui seraient le résultat d’un profit ou d’une perte.
État financier détaillé qui décrit le montant total gardé à l’intérieur d’une société chaque année.
Évaluation de la performance d’un gestionnaire fondée sur une comparaison à un indice de référence établi en vue déterminer si les rendements obtenus sont acceptables.
Année d’opération d’une société qui ne correspond pas nécessairement à l’année civile. Les sociétés font souvent coïncider le début de l’exercice financier avec leur date de fondation, mais elles peuvent aussi choisir une date qui leur permet de fermer leurs livres à un temps autre que celui des Fêtes.
Année d’opération d’une société qui ne correspond pas nécessairement à l’année civile. Les sociétés font souvent coïncider le début de l’exercice financier avec leur date de fondation, mais elles peuvent aussi choisir une date qui leur permet de fermer leurs livres à un temps autre que celui des Fêtes.
Relevé où sont inscrits les revenus de fiducie (répartitions et attributions) d’un contribuable, c’est-à-dire les revenus de placement provenant de comptes de fiducie ou de fonds communs de placement détenus dans des comptes non enregistrés. Émis à des fins fiscales. Voir aussi « feuillet T5 » et « feuillet T4 ».
Relevé où est inscrit le revenu d’emploi d’un contribuable et les déductions payées par ce dernier. Émis à des fins fiscales. Voir aussi « feuillet T3 » et « feuillet T5 ».
Relevé où sont inscrits les revenus de placement d’un contribuable, y compris l’intérêt, les dividendes et les revenus de sources étrangères. Émis à des fins fiscales. Voir aussi « feuillet T3 » et « feuillet T4 ».
Discipline qui a pour objet d’anticiper le comportement des investisseurs à partir de facteurs psychologiques et économiques et de l’activité sur les marchés des capitaux.
Entrée de fonds sous forme de revenus et sorties de fonds sous forme de dépenses sur une période donnée.
Calcul comparant le flux de trésorerie à la dette afin de déterminer la capacité d’une entreprise à rembourser les fonds empruntés. Ratio d’endettement = (flux de trésorerie d’exploitation ) / (encours total de la dette)
Entité (souvent une société de fiducie), désignée pour garantir le paiement d’obligations et pour s’assurer que les engagements définis dans l’acte de fiducie sont honorés. Dans le cas d’un fonds distinct, l’entité s’occupe de l’administration de l’actif du fonds.
Fonds de placement composé principalement de titres à revenu fixe.
Type de fonds commun de placement conçu pour générer des gains en capital et des revenus de dividendes en investissant dans des actions ordinaires de grandes sociétés qui ne réalisent pas d’importants gains en capital, mais qui versent régulièrement des dividendes.
Portefeuille géré par des professionnels pouvant être divisé en un nombre illimité de parts qui sont achetées et vendues directement par le fonds. Le prix des parts est fonction de la valeur des titres détenus par le fonds et non du cours du marché.
Fonds commun qui investit à l’échelle internationale.
Fonds de placement constitué d’actions émises par des sociétés à faible capitalisation boursière. Par conséquent, les fonds d’actions de sociétés à petite capitalisation sont plus volatils et présentent un risque plus élevé, mais offrent un potentiel de rendements supérieurs.
Type de fonds commun de placement qui investit principalement dans des actions ordinaires de petites entreprises affichant une croissance importante et dont le cours de l’action augmentera vraisemblablement. Les investisseurs qui ont une tolérance élevée au risque sont les mieux placés pour investir dans les fonds d’actions de sociétés en croissance.
Fonds commun de placement d’actions ordinaires canadiennes qui procure un revenu sous forme de gains en capital et de dividendes.
Fonds de titres à revenu fixe qui investit principalement dans des titres du marché monétaire et dans des obligations d’État de moins de cinq ans.
Fonds commun de placement dont l’actif est principalement composé d’actions ordinaires et privilégiées qui paient des dividendes.
Portefeuille de placements, comme un fonds commun, qui donnent accès aux investisseurs à un groupe de titres.
Fonds commun de placement dont les actifs sont répartis de façon équilibrée entre les actions, les obligations et les titres du marché monétaire, et qui est conçu pour réduire le risque pour l’investisseur. Les gestionnaires ajustent légèrement la répartition des actifs en fonction des tendances boursières. Par exemple, ils peuvent modifier la répartition d’un fonds à 50 % d’actions et 50 % d’obligations pour 40 % d’actions et 60 % d’obligations ou vice versa.
Fonds commun de placement peu réglementé qui utilise des stratégies de placement risquées.
Fonds commun de placement dont l’actif est investi dans des prêts hypothécaires résidentiels ou commerciaux, parfois consentis aux termes de la Loi nationale sur l’habitation du Canada. Dans de nombreux cas, ces fonds sont émis par les banques qui octroient les prêts hypothécaires et rachètent les prêts en défaut de paiement, ce qui réduit le risque du fonds.
Fonds de revenu de retraite personnel utilisé pour conserver des actifs immobilisés, qui sont souvent convertis à partir d’un compte de rente immobilisé, comme un compte de retraite immobilisé. Des exigences de retraits (montants minimum et maximum) s’appliquent aux fonds de revenu viager. Les régimes enregistrés d’épargne-retraite (REER) ne peuvent pas être transformés en fonds de revenu viager, mais peuvent être transformés en fonds enregistré de revenu de retraite (FERR).
Mesure de la santé financière à court terme d’une entreprise calculée en soustrayant les passifs à court terme du total des actifs à court terme.
Fonds qui ne sont pas requis pour les dépenses courantes et dont on peut disposer librement.
Fonds investissant dans des contrats d’assurance, similaire à un fonds commun de placement, qui comporte habituellement une garantie sur le capital. Les parts de fonds distincts se vendent en fonction de leur valeur liquidative, comme dans le cas d’un fonds commun de placement. On les appelle parfois des rentes différées variables.
Fonds commun liquide et peu risqué qui investit dans les bons du Trésor, les dettes bancaires et les autres placements basés sur de la trésorerie.
Compte de retraite à impôt différé dans lequel les fonds d’un REER sont transférés, puis graduellement retirés afin de procurer un revenu imposable à son titulaire. Celui-ci doit faire un retrait minimal tous les ans. Il peut détenir plus d’un FERR et les transférer d’une institution financière à une autre.
Fonds commun composé de placements qui répliquent un indice boursier. Les fonds indiciels sont diversifiés et généralement assortis de frais moins élevés que les fonds gérés activement.
Type de fonds commun de placement conçu pour générer des gains en capital en imitant un indice boursier, comme l’indice composé S&P/TSX.
Fonds de placement qui investit à l’étranger.
Fonds commun de placement à levier financier qui utilise des produits dérivés dans tout un éventail de stratégies de vente à découvert.
Fonds commun conçu pour générer des dividendes et des gains en capital en investissant dans des actions internationales.
Titre négociable coté en bourse qui reproduit un indice ou un panier de valeurs mobilières. Le fonds négocié en bourse est semblable à un fonds indiciel, mais il peut être négocié en bourse comme une action.
Type de fonds commun de placement dont l’actif est principalement constitué d’obligations. Parfois appelé un fonds à revenu fixe.
Frais que paie un investisseur à la société de fonds communs de placement et que celle-ci redistribue aux représentants et conseillers qui ont recommandé ses fonds.
Frais facturés par une société de fonds communs de placement à la vente de parts d’un fonds et calculés en fonction du montant placé par l’investisseur. C’est le contraire des frais prélevés à l’acquisition (aussi appelés frais d’achat). Voir aussi « frais prélevés à l’acquisition ».
Dépenses engagées pour les activités commerciales courantes. Dans le cas d’un fonds commun, les frais d’exploitation incluent les dépenses administratives, les honoraires d’audit, les frais de courtage et les dépôts de valeurs mobilières.
Commissions et frais de courtage payés à la suite de l’achat ou de la vente de valeurs mobilières détenues dans un portefeuille ou dans un fonds commun de placement.
Frais engagés pour conclure une transaction immobilière qui peuvent comprendre des frais de services publics, des charges de copropriété, l’impôt foncier, des primes d’assurance et des frais juridiques. Ces frais viennent s’ajouter au prix de vente de la propriété.
Montant facturé au client lorsqu’il ferme ses comptes. Les institutions financières ne facturent pas toutes ce genre de frais.
Frais que facturent tous les courtiers en valeurs mobilières, comme les sociétés de fonds communs de placement, pour payer les gestionnaires de fonds ou les services de conseils en placement. Les frais de gestion sont prélevés à même le fonds.
Commission de suivi à payer de façon régulière pour assurer la gestion d’un placement.
Frais facturés à un investisseur qui transfère des actifs d’une société de fonds communs de placement à une autre.
Frais calculés en fonction du montant placé et facturés à l’achat de parts d’un fonds commun. C’est le contraire des frais d’acquisition reportés (aussi appelés frais de rachat). Voir aussi « frais d’acquisition reportés ».
Montant à payer avant que la compagnie d’assurance ne rembourse la réclamation.