Skip to main content

Le guide indispensable du financement des études de médecine

          Une jeune personne, boisson chaude à la main, qui regarde son téléphone intelligent.

  • La plupart des bourses d’études ne suffisent pas à couvrir la totalité des droits de scolarité; vous devrez donc trouver d’autres sources de financement.
  • Il existe différentes sources de financement pour les études en médecine. Afin de limiter vos dettes et de bien gérer les sommes dont vous disposerez, vous devez déterminer quelles options vous conviennent le mieux.
  • Avoir accès aux fonds nécessaires ne suffit pas; il faut aussi adopter de bonnes habitudes financières et se bâtir une solide cote de crédit.       

Chaque année, environ de 3 000 étudiantes et étudiants sont admis dans une des 17 facultés de médecine du Canada. Beaucoup d’entre eux rêvent depuis fort longtemps de rendre le monde meilleur en pratiquant la médecine. C’est peut-être aussi votre cas.

Or, dans vos rêves, vous n’avez probablement jamais songé à tout l’argent qu’il vous faudrait pour devenir médecin. En effet, selon l’Association des facultés de médecine du Canada, la dette médiane au terme des études en médecine se chiffre à 80 000 $. Dans 32 % des cas, la dette s’élève à 120 000 $ ou plus.

À ce montant peut s’ajouter aussi la dette d’un autre programme de premier cycle, soit 28 000 $ pour la moyenne des diplômés canadiens, et vous obtenez une rondelette somme que vous devrez probablement commencer à rembourser dès que vous ne serez plus aux études.

Dettes d’études en médecine : plus de 200 000 $ dans près de 10 % des cas

Moins de 20 k$ 7,7 %
De 20 k$ à < 80 k$ 40,1 %
De 80 k$ à < 140 k$ 28,2 %
De 140 k$ à < 200 k$ 14,5 %
200 k$ ou plus 9,5 %

Source : Association des facultés de médecine du Canada

Le présent guide renferme des stratégies applicables aux types de financement les plus courants, que vous pourrez suivre étape par étape pour partir sur de bonnes bases financières. 

  1. Présenter des demandes de bourses d’études pour emprunter le moins possible.
  2. Profiter au maximum des programmes gouvernementaux de bourses d’études afin de réduire le plus possible sa dette.
  3. Recourir aux programmes gouvernementaux de prêts d’études pour payer ses autres dépenses.
  4. Se bâtir un bon dossier de crédit pour assurer sa sécurité financière.
  5. Obtenir une marge de crédit en cas de besoin.
  6. Budgéter intelligemment pour éviter de s’endetter inutilement.
  7. Pendant ses études, adopter de bonnes habitudes financières pour se préparer à la résidence.
  8. Après l’obtention du diplôme, présenter des demandes d’exonération et d’allégement du remboursement des prêts d’études.
  9. Se doter d’un plan financier adapté à ses besoins.

Présenter des demandes de bourses d’études 

Les bourses d’études constituent la première source de financement à considérer, puisque vous n’avez pas à les rembourser. Elles sont octroyées en fonction du mérite, par exemple les résultats scolaires, ou d’autres facteurs, comme les besoins financiers ou un contrat d’obligation de service postdoctoral.

Les dates limites pour présenter des demandes de bourses sont habituellement à la fin de l’automne. Surveillez donc ces dates, et envoyez vos demandes tôt.

Gardez à l’esprit que le montant des bourses d’études ne suffira peut-être pas à payer toutes vos dépenses. Vous devrez probablement trouver d’autres sources de financement telles que les programmes gouvernementaux de prêts et bourses ou d’autres types de prêts.

Penchons-nous d’abord sur les programmes gouvernementaux de bourses d’études.

Profiter au maximum des programmes gouvernementaux de bourses d’études 

Les bourses offertes dans le cadre de programmes gouvernementaux constituent une excellente option pour financer vos études, car elles n’ont pas à être remboursées. Les bourses d’études du Canada s’adressent aux personnes qui veulent faire des études postsecondaires et sont attribuées selon les besoins financiers.

Présentez des demandes auprès des gouvernements du Canada et des provinces ou des territoires. Le montant que vous pouvez recevoir varie non seulement en fonction de vos besoins financiers, mais également de la province dans laquelle vous faites vos études de médecine. Le montant auquel vous avez droit ne sera établi qu’au moment où vous présenterez votre demande.

Certaines bourses sont réservées à des groupes bien précis : adultes qui ont des personnes à charge, personnes handicapées, membres des Premières Nations, Inuits, etc. Néanmoins, la plupart des bourses sont attribuées en fonction des besoins financiers et offertes à l’ensemble des étudiants et des étudiantes.

Même si vous recevez une bourse du gouvernement (en plus de toute autre bourse d’études), vous devrez probablement emprunter pour payer les autres dépenses liées à vos études de médecine. La prochaine étape est sûrement la plus stressante : l’endettement.

Recourir aux programmes gouvernementaux de prêts d’études 

Le gouvernement du Canada, les provinces et les territoires proposent tous un programme de prêts d’études. Vous trouverez plus d’informations sur celui du gouvernement du Québec ici.

Le prêt d’études canadien est offert aux personnes inscrites à temps plein dans un établissement d’enseignement postsecondaire agréé au Canada (et, dans certains cas, à l’étranger) qui répondent aux critères d’admissibilité.

Avant la pandémie, il fallait commencer à rembourser son prêt six mois après la fin des études en effectuant des versements mensuels. Cependant, en avril 2021, le gouvernement fédéral a annoncé qu’il suspendait les intérêts sur les prêts d’études canadiens jusqu’au 31 mars 2023. Vous n’aurez donc pas à vous soucier de rembourser la portion fédérale de votre prêt d’études avant cette date.

Lors d’une année normale, le taux d’intérêt équivaut au taux préférentiel. Chaque année, vous bénéficiez d’un crédit d’impôt fédéral de 15 % pour les intérêts payés sur le prêt d’études canadien. Vous pouvez profiter de ce crédit si vous devez de l’impôt; sinon, vous pouvez le reporter d’une année à l’autre, pendant au plus cinq ans.

Les médecins de famille et les résidents en médecine familiale qui exercent en région rurale ou dans une collectivité mal servie pourraient être admissibles au programme d’aide au remboursement, qui permet de réduire le solde de leur prêt d’études canadien.

Lecture complémentaire : Ce que vous devez savoir au sujet des prêts et bourses gouvernementaux

Avant de demander de l’aide financière, faites-vous conseiller. Idéalement, la personne devrait s’y connaître en financement des études de médecine. De l’étape de la demande du prêt jusqu’à la fin de votre résidence, un conseiller financier ou une conseillère financière peut vous aider à optimiser les solutions de financement qui s’offrent à vous, à gérer votre dette, puis à la rembourser le moment venu.

Les conseillères et conseillers MD* et de la Banque Scotia ont l’expérience et les connaissances nécessaires pour guider les étudiantes et étudiants dans leurs décisions financières pendant leurs études et au-delà, et peuvent vous aider à partir du bon pied. 

Sachez que votre situation financière peut influer sur les sommes qui vous seront accordées par les gouvernements. Par exemple, si vous avez de l’argent dans un compte d’épargne libre d’impôt, le montant auquel vous êtes admissible pourrait diminuer. Idem si vous avez un conjoint, car ses biens pourraient être pris en considération dans le calcul des sommes auxquelles vous avez droit.

Se bâtir un bon dossier de crédit 

Peu importe la profession ou la spécialité que vous exercerez, votre dossier de crédit aura une grande incidence sur votre vie d’adulte. Si vous vous montrez digne de confiance auprès des prêteurs, vous maintiendrez, voire améliorerez, votre cote de solvabilité (ou cote de crédit). Cette cote se répercutera sur votre capacité d’emprunt dans l’avenir (et le taux d’intérêt dont vous bénéficierez), notamment pour l’achat de votre première maison.

La cote de solvabilité se situe entre 300 et 900. Plus la cote est élevée, plus vous êtes solvable. Ainsi, si vous payez vos factures et remboursez vos prêts à temps, votre cote de solvabilité augmentera. À l’inverse, si vous ne faites pas vos paiements à l’échéance (ou si vous ne les faites pas du tout), votre cote diminuera.

Mauvaise 300-559; Passable 560-659; Bonne 660-724; Tres bonne 725-759; Excellente 760-900

Source : Equifax

Que vous le vouliez ou non, les agences d’évaluation du crédit (TransUnion et Equifax au Canada) assurent un suivi de votre dossier de crédit et évaluent votre viabilité financière à titre d’emprunteur. Votre dossier est mis à jour chaque fois que vous faites une demande de prêt ou de marge de crédit, et l’information que vous fournissez à cette occasion sert à ajuster votre cote de solvabilité. L’un des facteurs qui aide à conserver une cote élevée est le temps écoulé depuis le moment où vous avez contracté une dette ou obtenu une carte de crédit. Plus c’est long, mieux c’est.

Vérifiez votre dossier de crédit et votre cote de solvabilité. TransUnion et Equifax peuvent vous envoyer gratuitement une copie de votre dossier de crédit par la poste; votre cote de solvabilité n’y figurera toutefois pas. Moyennant certains frais, les deux agences vous donneront néanmoins accès à votre dossier de crédit ET à votre cote de solvabilité en ligne. Vous pourriez peut-être aussi obtenir votre cote de solvabilité gratuitement par l’entremise de votre institution financière. 

Si votre cote est de 700 ou plus, vous devriez bénéficier des meilleurs taux d’intérêt. Toutefois, si elle est inférieure à 650, il se peut que vous ne puissiez obtenir une nouvelle marge de crédit. Sachez que le fait de vérifier votre propre dossier de crédit n’a aucune incidence sur votre solvabilité; n’hésitez donc pas à vous informer.

BON À SAVOIR : Découvrez comment améliorer votre cote de crédit.

Obtenir une marge de crédit 

Après avoir présenté des demandes de prêts et bourses d’études auprès du gouvernement ou d’autres institutions, vous constaterez fort probablement qu’il vous manque encore de l’argent pour financer vos études. Le cas échéant, vous pourrez demander une marge de crédit (aussi appelée ligne de crédit) pour étudiants.

La marge de crédit pour étudiants a comme principaux avantages d’être souple et de coûter moins cher en intérêts. Elle se distingue du prêt traditionnel en ce sens que vous empruntez l’argent quand vous en avez besoin et que vous payez des intérêts uniquement sur les sommes empruntées. C’est un avantage appréciable qui rend la marge de crédit plus économique que le prêt. Les modalités de remboursement de la marge de crédit sont également plus souples, et les paiements mensuels exigés sont généralement moins élevés que pour les prêts d’études gouvernementaux.

Le hic, c’est que les taux fluctuent. Les taux d’intérêt des marges de crédit pour étudiants sont généralement établis en fonction du taux préférentiel (ou taux de base) du prêteur. Par exemple, vous pourriez vous voir accorder le taux préférentiel moins 0,15 %, soit 5,30 % pour un taux préférentiel de 5,45 %. Mais dès que le taux préférentiel change, votre taux change aussi. Vous devez donc suivre de près les taux d’intérêt en général pour avoir une idée de leur évolution future.

Autre inconvénient : contrairement aux prêts d’études gouvernementaux, les intérêts sur les sommes empruntées commencent à courir immédiatement. Dans le cas de certaines marges de crédit pour étudiants, les intérêts peuvent être capitalisés, c’est-à-dire que vous pouvez parfois sauter un paiement, et les intérêts dus s’ajoutent alors au capital (le montant emprunté au départ). Cette solution allégera votre fardeau financier, mais elle aura aussi pour effet d’augmenter la dette que vous devrez rembourser plus tard.

Source : Banque du Canada, janvier 2012 à septembre 2022

Pour comparer les marges de crédit, examinez-en les modalités et les avantages. Bien que de nombreuses marges de crédit pour étudiants soient relativement semblables d’une institution prêteuse à l’autre, leurs avantages et leurs modalités (période de grâce pour le remboursement, options de conversion et de remboursement, etc.) diffèrent généralement. Tenez aussi compte des avantages intangibles : vous entendez-vous bien avec les personnes-ressources chez le prestataire de services? Leur faites-vous confiance?

Les étudiants en médecine peuvent se prévaloir de la Ligne de crédit Professions libérales ScotiaMD pour étudiants dans le cadre du Programme bancaire pour médecins Pro Santé+ Banque Scotia. Cette ligne de crédit peut atteindre 350 000 $ et est offerte au taux de base moins 0,25 %2. Vous pouvez utiliser la totalité de la somme dès l’ouverture du compte et ne commencer à rembourser que deux ans après avoir terminé la résidence3. Il convient toutefois de noter que l’intérêt à payer s’applique aux fonds retirés et doit être remboursé à partir du moment où le retrait est effectué. Grâce à ce programme, les étudiants en médecine et les médecins résidents ont également accès à des avantages bancaires, dont une exonération des frais de service associés aux comptes chèques et à certaines cartes de crédit (des conditions s’appliquent). 

Peu importe la marge de crédit que vous choisirez, présentez votre demande tôt. Le mieux, c’est de présenter votre demande en même temps que vos demandes de prêts et bourses d’études gouvernementaux.

À FAIRE : Renseignez-vous sur les marges de crédit pour étudiants et leur fonctionnement.

Budgéter intelligemment 

Lorsqu’on est aux études, établir un budget efficace peut être un véritable tour de force. En règle générale, environ la moitié des dépenses liées aux études de médecine se rapportent à la formation, alors que l’autre moitié correspond aux frais de subsistance. Comprendre comment assembler ces deux morceaux du casse-tête financier est parfois tout un défi.  

Les droits de scolarité et les frais de subsistance peuvent varier considérablement. Par exemple, les droits de scolarité de l’Université de la Saskatchewan sont presque le double de ceux de l’Université du Manitoba (environ 19 400 $ et 11 300 $ respectivement). De plus, le coût de la vie dans les métropoles est généralement plus élevé que dans les petites villes.

Peu importe votre destination, vous devrez d’abord bien évaluer combien il vous en coûtera pour y étudier et y vivre avant d’établir votre budget.

L’établissement d’un budget commence par une évaluation réaliste des dépenses. Pour établir votre budget annuel, vous ne pouvez pas vous contenter de diviser le financement dont vous disposez par le nombre d’années d’études et penser couvrir toutes vos dépenses.

En optant pour la carte de crédit au lieu du comptant pour payer vos achats, vous pourrez mieux suivre vos dépenses. Plus vous commencerez tôt à faire ce suivi, plus vous disposerez d’informations utiles pour établir votre budget chaque session.

Mais attention! L’utilisation d’une carte de crédit implique également des responsabilités. Assurez-vous de régler le solde de votre compte en entier à la fin de chaque mois. Sinon, votre cote de solvabilité risque de diminuer.

ASTUCE : Ne faites jamais d’emprunts sur une carte de crédit que vous ne serez pas en mesure de rembourser à la fin du mois, car les taux d’intérêt dépassent souvent les 20 %!

Rappelez-vous que tout ce que vous empruntez porte intérêt. Le mieux, c’est donc d’emprunter uniquement ce qu’il vous faut.

De plus, choisissez bien la source de financement que vous utilisez. Si vous avez obtenu des bourses d’études ou des prêts sans intérêt, prenez cet argent avant d’emprunter des fonds qui portent intérêt.

Prévoyez les grosses dépenses imminentes. Les dépenses importantes comme les droits de scolarité, les manuels et les examens peuvent porter un coup solide à votre compte de banque, mais elles sont faciles à prévoir et à gérer. Sachez que les dernières années en médecine coûtent normalement plus cher que les premières, car il faut souvent se déplacer pour les stages à option, les examens et ainsi de suite. De plus, tâchez de bien gérer les dépenses qui passeront dans votre compte. Pendant vos études, vous n’aurez sûrement pas envie d’assumer des frais de découvert. 

Toutefois, même si vous budgétez correctement votre première année en médecine, il se peut que vous vous sentiez pris à la gorge plus tard dans vos études en raison de la hausse des coûts.  Il est donc essentiel de faire votre budget et de le respecter afin de vous préparer à cette augmentation.

Adopter de bonnes habitudes financières 

Les bonnes habitudes que vous prendrez en respectant votre budget vous serviront tout au long de votre vie. Pendant vos études, il existe des façons de contrôler vos dépenses et de limiter votre endettement, par exemple en estimant vos dépenses totales et en vous accordant une allocation mensuelle.

Lorsque vous aurez obtenu votre diplôme, vous amorcerez votre résidence et gagnerez un salaire en exerçant la médecine sous la supervision de médecins d’expérience. Les programmes de spécialité durent de quatre à cinq ans, tandis que la résidence en médecine familiale se fait généralement en deux ans.

Voilà pourquoi une marge de crédit est indispensable, qu’il s’agisse de la même que vous aviez pendant vos études de médecine ou bien d’une nouvelle. Contrairement aux prêts et bourses d’études, la marge de crédit est une option de financement qui demeure accessible après l’obtention du diplôme. Il s’agit d’une excellente solution si vous n’êtes pas en mesure d’évaluer avec précision combien vous coûtera votre résidence (pensez aux examens, aux cotisations de l’Association canadienne de protection médicale, à la formation, à l’immunisation, aux vérifications policières des antécédents, etc.), ni combien de temps elle durera.

Présenter des demandes d’exonération et d’allégement du remboursement des prêts d’études après l’obtention du diplôme 

Selon l’endroit où vous travaillerez, vous pourriez être admissible à un programme d’exonération de remboursement des prêts d’études. Plusieurs provinces offrent des programmes d’aide financière qui visent souvent à attirer les médecins (en particulier les médecins de famille) dans les régions mal servies. Les médecins et résidents en médecine familiale qui travaillent dans des régions rurales ou mal servies peuvent aussi être admissibles au programme d’exonération de remboursement du prêt d’études du gouvernement du Canada.

Certaines provinces offrent également des privilèges financiers particuliers. C’est le cas de l’Île-du-Prince-Édouard, où les personnes admissibles au programme d’allégement du remboursement des prêts d’études à l’intention des médecins résidents (en anglais seulement) n’ont pas à payer d’intérêts sur leurs prêts d’études.

Si vous faites votre résidence en Ontario et avez l’intention d’y rester encore cinq ans comme médecin par la suite, vous pourriez, dans le cadre du Programme d’exemption des intérêts sur les prêts des médecins résidents, conclure un contrat d’obligation de service postdoctoral. En vertu de ce contrat, vous n’aurez pas à payer le capital ni les intérêts des prêts d’études des gouvernements fédéral et provincial pendant votre période de résidence. Vous devrez toutefois respecter l’ensemble des modalités de l’entente (lieu, durée et autres conditions). Sinon, vous devrez abandonner le programme et rembourser vos prêts d’études dans leur totalité.

Se doter d’un plan financier adapté à ses besoins 

Choisir les moyens de financement auxquels recourir pour vos études de médecine n’est que la première des nombreuses décisions financières que vous aurez à prendre tout au long de votre formation et de votre carrière. Maintenant que le processus est entamé, vous allez vite comprendre pourquoi il est essentiel de bien connaître les stratégies qui s’offrent à vous et de déterminer lesquelles répondent le mieux à vos besoins.

C’est avec plaisir que Gestion financière MD et la Banque Scotia vous aideront sur ce plan et sur bien d’autres questions également. En suivant les conseils du présent guide, vous avez de fortes chances d’exceller dans le financement de vos études de médecine. Si seulement nous pouvions aussi vous aider à exceller aux examens!

Parlez à une conseillère ou à un conseiller MD* ou de la Banque Scotia dès aujourd’hui.

Les produits et services bancaires et de crédit sont offerts par La Banque de Nouvelle-Écosse (la « Banque Scotia »), sauf indication contraire. Les produits de crédit et de prêts sont soumis à une approbation du crédit par la Banque Scotia. Des conditions s’appliquent à tous les programmes de récompenses et avantages et doivent être examinées avec soin. Les offres, les taux, les frais, les caractéristiques, les programmes de récompenses et les avantages ainsi que les conditions connexes peuvent tous être modifiés. Pour en savoir plus, rendez-vous à banquescotia.com ou communiquez avec votre conseillère ou conseiller MD ou avec une représentante ou un représentant de la Banque Scotia.

MD Marques déposées de La Banque de Nouvelle-Écosse.

* « Conseiller MD » désigne un conseiller financier de Gestion MD limitée (au Québec, un conseiller en placement) ou un gestionnaire de portefeuille de Conseils en placement privés MD.

1 À jour en septembre 2022

2

Le taux d’intérêt annuel varie selon le taux de base de la Banque Scotia et le facteur d’ajustement, le cas échéant. Le taux de base de la Banque Scotia est publié de temps à autre et peut faire l’objet de modifications. Le facteur d’ajustement peut également être modifié sur préavis. Pour connaître le taux de base de la Banque Scotia, consultez le https://www.scotiabank.com/ca/fr/particuliers/taux.html ou appelez la Banque Scotia au 1 800 4SCOTIA (1 800 472-6842).

3 Pendant que vous demeurez aux études et durant les 24 mois suivant la fin de votre programme de résidence (le « délai de grâce de remboursement »), aucun paiement ne sera requis à l’égard de votre Ligne de crédit Professions libérales Scotia pour étudiants (le « compte »), tant et aussi longtemps que votre solde n’excède pas la limite de crédit de votre compte. Cependant, les intérêts continueront de courir pendant ce délai de grâce de remboursement et seront imputés à tout montant emprunté à compter du jour où vous effectuez l’emprunt jusqu’au moment où vous remboursez le montant en entier. Veuillez consulter la déclaration afférente à la demande, une déclaration que nous vous fournissons, ou communiquez avec votre conseiller de la Banque Scotia pour en savoir plus sur le délai de grâce de remboursement et la façon dont les intérêts sont imputés à votre compte.

L’information ci-dessus ne doit pas être interprétée comme des conseils professionnels en placements ou d’ordre financier, fiscal, juridique, comptable ou de nature similaire applicables en contexte canadien ou étranger, et elle ne saurait en aucun cas remplacer les conseils d’un fiscaliste, d’un comptable ou d’un conseiller juridique indépendant.