Balado : L’endettement
Dans cet épisode, animé par Stephanie Lewis en compagnie de Elina Pacu, nous parlons de tout ce qui touche à l’endettement. Nous abordons plus précisément les dettes d’études et les façons de les rembourser.
Vous écoutez le balado Littératie Financière, une présentation de Gestion financière MD.
La seule société pancanadienne de services financiers qui se consacre au bien-être financier des médecins et des membres de leur famille.
SL : Bonjour cher public! Merci d’être des nôtres pour l’épisode de cette semaine. Je m’appelle Stephanie Lewis. Aujourd’hui, nous explorons l’univers fascinant de l’endettement, et plus particulièrement des dettes étudiantes qui affligent les jeunes médecins. Avec nous pour nous faire part de ses conseils de professionnel, nous avons Elina Pacu. Bienvenue au balado Elina!
EP : Merci Stephanie. Je suis très heureux d’être ici. J’espère que nous réussirons à rassurer les futurs médecins et leur famille à propos de l’endettement.
SL : Absolument, parce que de nombreuses personnes sont mal à l’aise de discuter de finances et d’endettement, même si ça découle naturellement de la poursuite de leurs rêves.
EP : Exactement. De nos jours, il est très difficile d’étudier sans s’endetter, particulièrement en médecine. L’objectif de l’épisode d’aujourd’hui est de vous exposer les différentes options qui s’offrent à vous pour la gestion et le remboursement de ces dettes afin de vous éviter certaines « erreurs de débutant ».
SL : Commençons par comparer l’endettement de l’étudiant en médecine à celui de l’étudiant moyen.
EP : C’est un excellent point de départ. Après tout, plus on en sait, plus c’est facile de planifier et moins on a de chance de se retrouver dépassé par les événements.
Selon les plus récentes statistiques canadiennes disponibles, l’étudiant moyen termine ses études de premier cycle avec une dette de 28 000 dollars.
Pour les étudiants en médecine, c’est plutôt 140 000 dollars, et ce montant n’inclut pas la résidence ni le fellowship, selon le cas. Il ne tient pas non plus compte de l’état matrimonial de l’étudiant ni d’une possible colocation avec une autre personne endettée.
Il n’est donc pas rare qu’au moment de commencer à exercer de plein droit, un jeune médecin soit dans le rouge de 200 000 dollars ou plus.
SL : Ce n’est pas rien.
EP : Je sais, je sais, mais je n’essaie pas de décourager quiconque. Lorsqu’on regarde les chiffres dans le vide comme ça, ça donne le vertige, mais la bonne nouvelle est que, tout comme la dette des étudiants en médecine est différente de celle des autres étudiants, les options pour la rembourser le sont aussi.
Ce qu’il faut savoir d’entrée de jeu, c’est que vous aurez un salaire pendant votre résidence. À chacun sa situation, mais en fonction de la nature de votre dette et de vos frais de subsistance, par exemple, si vous êtes un ménage à revenu unique ou double, si vous avez des enfants et où vous vous trouvez, vous pourrez peut-être affecter une partie de ce salaire au remboursement de votre dette d’études. Même en faisant de tout petits paiements, vous prendrez de bonnes habitudes et vous garderez un certain contrôle sur les intérêts.
SL : Tu as dit « en fonction de la nature de votre dette »... J’imagine que tu parles de la différence entre un prêt et une marge de crédit.
EP : Exactement. Les conditions et les délais de remboursement sont différents pour ces deux outils. Il y a même des différences au chapitre des intérêts à payer. Ainsi, la date à laquelle vous devez commencer à rembourser votre dette et la nature des paiements peuvent varier.
SL : Donc, pour les auditeurs qui n’ont pas encore commencé leurs études en médecine, il est important de connaître ces différences pour faire le bon choix dès le départ. Dans ce cas, décortiquons le tout.
EP : Bien sûr. Comme tu l’as dit, pour les futurs étudiants qui nous écoutent, et pour les parents de futurs étudiants, le fait de bien comprendre les différences entre un prêt étudiant et une marge crédit permet d’éviter bien des tracas en cours de route.
Bon, avant de parler des différences au moment de rembourser, parlons de celles au moment d’emprunter.
Avec le prêt étudiant, vous recevez tous les fonds d’un seul coup. Que vous utilisiez l’argent ou non, vous devrez rembourser le montant total, plus intérêts. Et malheureusement, vous ne pouvez pas utiliser votre prêt étudiant pour payer vos frais de résidence, puisque cette dernière n’est pas considérée comme des études à temps plein. À ce moment de votre parcours, la marge de crédit serait donc peut-être plus indiquée.
Une marge de crédit offre un crédit renouvelable, un peu comme une carte de crédit. Le prêteur vous autorise un certain montant. Vous pouvez ensuite emprunter les fonds dont vous avez besoin jusqu’à concurrence de ce montant. Les intérêts ne sont facturés que sur les fonds réellement empruntés, et ce que vous remboursez redevient immédiatement disponible pour emprunt. De plus, vous pouvez utiliser votre marge de crédit pendant votre résidence. Une fois que vous avez terminé votre formation et que votre période de grâce est passée, la plupart des institutions financières vous permettent de convertir votre marge étudiante en marge ordinaire. Cependant, gardez à l’esprit que certains prêteurs ne considèrent pas que le fellowship fait partie de la formation aux fins du délai de grâce, ce qui pourrait devancer la conversion en marge ordinaire.
Si vous choisissez de ne pas convertir votre marge étudiante, elle sera transformée en prêt et vous devrez faire des paiements réguliers.
SL : Si je comprends bien, la marge de crédit offre plus de souplesse que le prêt et peut être utilisée plus longtemps. Qu’est-ce qui pourrait faire pencher un étudiant pour un prêt alors?
EP : En fait, le prêt et la marge de crédit présentent tous deux des avantages. De façon générale, il est recommandé d’utiliser en premier les sources qui génèrent le moins d’intérêts. Donc, une fois que vous avez épuisé vos économies et tout argent « gratuit », comme les bourses, vous utilisez vos prêts étudiants, et ensuite vous puisez dans votre marge de crédit.
Ce qui distingue les deux n’est pas tant le taux d’intérêt, qui est souvent similaire, mais bien la façon dont les intérêts sont calculés. Aucun intérêt n’est facturé sur vos prêts étudiants pendant vos études. Ce n’est que six mois après la fin de vos études à temps plein que le remboursement commence et que les intérêts commencent à courir. Cependant, en raison de la COVID-19, le gouvernement a mis en pause la perception d’intérêts sur la partie fédérale des prêts étudiants jusqu’en mars 2023. Cette mesure ne s’applique pas à la partie qui relève du provincial. Et en ce qui concerne la suspension des intérêts pendant la résidence, il faut communiquer directement avec son prêteur. Autre avantage : vous pouvez demander un crédit d’impôt de 15 % sur les intérêts de la partie fédérale de vos prêts étudiants.
Dans le cas d’une marge de crédit, les intérêts mensuels commencent à courir dès que vous retirez des fonds. La plupart des banques capitaliseront ces intérêts pendant que vous êtes aux études, ce qui signifie qu’ils les prélèveront directement dans votre marge de crédit. Votre dette augmentera donc rapidement. L’avantage de la marge, c’est que vous y avez accès tout au long de votre résidence et que vous pouvez utiliser ces fonds pour n’importe quoi! De plus, les banques accordent généralement une période de grâce de six mois à deux ans avant que l’emprunteur doive commencer à rembourser son solde.
Les modalités de remboursement, elles, ne viendront que plus tard. Vous pourrez alors évaluer les options qui s’offrent à vous, notamment les programmes d’allégement des prêts et la consolidation des dettes, et les combiner en une solution personnalisée au besoin.
SL : Donc chaque option a ses avantages. Comme je viens de la dire, la marge de crédit offre un peu plus de flexibilité, mais le prêt peut être utile pour une personne qui n’a pas suffisamment d’entrées d’argent pour contrôler l’accumulation des intérêts. C’est une décision difficile.
EP : En effet. Et c’est une décision qui dépend vraiment de la situation financière personnelle de l’emprunteur. Je dirais qu’en cas de doute, vous feriez mieux d’en parler à un conseiller financier qui sera en mesure de déterminer non seulement ce qui convient le mieux à votre situation actuelle, mais aussi ce qui vous aidera le plus à long terme.
SL : Et personne n’est mieux placé pour vous aider que les conseillers de la Financière MD, qui sont spécialistes des questions financières touchant les médecins actuels ou futurs et leur famille.
EP : Exactement. Les conseillers de MD connaissent les taux avantageux, les limites d’emprunt et les programmes spéciaux destinés aux étudiants en médecine. Ils sont capables de ficeler un bon plan financier pour vos études, votre résidence et même votre carrière. Et ils tiennent compte de votre époux ou partenaire et de l’équilibre de vos finances, de façon à ce que votre dette ne vous empêche pas de profiter des autres choses qui comptent dans la vie.
SL : C’est vrai, parce qu’il ne faut pas oublier que devenir médecin, ça prend du temps et que se marier, acheter une maison, fonder une famille... ce n’est pas gratuit. Peu de médecins attendent d’exercer de plein droit avant de vivre ces expériences. Maîtriser son niveau d’endettement est un bon moyen d’éviter de devoir se priver de ces beaux moments. Cela dit, passons maintenant aux stratégies de remboursement.
EP : Bonne idée. L’avantage d’étudier en médecine est qu’il existe des options qui facilitent le remboursement des dettes. Un conseiller MD pourra vous expliquer en détail tous les programmes d’allégement de la dette ou d’exonération du remboursement de prêts à votre disposition.
Une fois ces ressources épuisées, il faut savoir que chaque type de dette a ses propres mensualités minimales et que si vous ne les payez pas, vous vous exposez à des pénalités et à une diminution de votre cote de solvabilité. Lorsque vous commencez à rembourser vos dettes, que ce soit pendant votre formation ou à la fin de votre délai de grâce, la logique dicte que vous devez rembourser votre dette la plus coûteuse en premier. Et par cela, je ne veux pas dire celle au solde le plus élevé, mais bien celle assujettie au plus haut taux d’intérêt. Après avoir fait tous vos paiements minimums, vous devez affecter tout argent supplémentaire au remboursement de cette dette. Ce n’est qu’une fois cette dette complètement remboursée que vous passerez à la deuxième plus coûteuse, et ainsi de suite. C’est ce qu’on appelle la méthode boule de neige.
SL : Et si après vos paiements obligatoires et vos autres dépenses vous n’avez pas les liquidités nécessaires pour payer plus que le minimum sur vos dettes coûteuses?
EP : Les paiements mensuels minimums, ça s’accumule rapidement! Votre conseiller MD pourra analyser votre situation en détail pour voir s’il serait judicieux de consolider vos dettes. Vous pourriez par exemple utiliser votre marge de crédit pour rembourser toutes vos autres dettes.
SL : C’est pas comme déshabiller Pierre pour habiller Paul?
EP : Oui et non. Certes, vous empruntez des fonds pour rembourser un autre emprunt. Mais comme le taux d’intérêt sur votre marge de crédit est beaucoup plus bas que celui de vos cartes de crédit, cette solution devient rentable à long terme.
En fait, elle est tout indiquée pour le remboursement des cartes de crédit. Si c’est avantageux pour vous, vous pouvez garder d’autres dettes à faible taux d’intérêt, comme vos prêts étudiants, hors de la consolidation afin de pouvoir continuer à profiter des intérêts différés et des crédits d’impôt par exemple.
La consolidation des dettes sur une marge de crédit pourrait être une bouffée d’air frais pour votre budget, en plus de ne représenter qu’un seul paiement minimum à faire par mois, ce qui vous donne la flexibilité requise pour rembourser une autre dette ou même investir pour votre retraite.
SL : C’est une bonne idée. Je pense que beaucoup de gens oublient que les médecins n’ont pas accès à un fonds de pension et qu’ils doivent épargner par eux-mêmes pour leur retraite. Plus ils commencent tôt, plus c’est payant.
EP : Bonne idée. Je sais que beaucoup de gens hésitent à épargner ou à investir alors qu’ils sont encore très endettés. Ils se disent « pourquoi rester assis sur cette grosse somme d’argent si je peux l’utiliser pour rembourser mes dettes? »
Mais une fois que vous commencez à gagner de l’argent, il peut être très avantageux de commencer à faire des placements, même si vous avez encore beaucoup de dettes.
Que vous décidiez d’ouvrir un CELI ou que vous souhaitiez constituer un petit portefeuille de placements, le plus tôt sera le mieux. Le temps est la clé d’un placement fructueux. Avec suffisamment de temps, même un petit montant peut devenir une petite fortune. Cela vous permet également de vous familiariser avec les fluctuations du marché.
Et ça permet de prendre de bonnes habitudes d’épargne. Une bonne stratégie est de mettre une partie de chaque paie de côté, aussi petite soit-elle. Avec le temps, vous aurez un plus gros revenu, votre dette fondra, et vous pourrez augmenter ce montant. Ce qui compte, c’est que vous aurez déjà pris une bonne habitude et que vous aurez déjà appris à budgéter en conséquence.
SL : Ce sont tous d’excellents points. Je crois que la leçon à en tirer est de toujours penser à l’avenir. Et je sais que ça peut être difficile pour les étudiants en médecine, parce que les années de formation sont aussi exigeantes que stressantes, et que de voir les dettes s’empiler peut être accablant.
Mais laissez-moi vous rassurer, il n’y a rien de mal à laisser une dette à faible taux d’intérêt courir si cela vous donne la possibilité d’épargner pour l’avenir.
EP : Tu m’enlèves les mots de la bouche. Beaucoup de gens diabolisent à tort l’endettement sous toutes ses formes. Utilisé avec justesse, c’est un puissant levier pour votre plan financier.
À moins que vos dettes vous empêchent de dormir, je vous recommande d’investir ou d’épargner le plus possible en vue de faire une mise de fonds sur une propriété ou simplement en cas d’urgence. Après tout, vous ne voulez pas devoir emprunter de nouveau plus tard, n’est-ce pas?
SL : C’est bien vrai. Abordons maintenant les grands événements de la vie et les dépenses inévitables qui en découlent. D’abord, tous les médecins doivent se préparer à fonder leur cabinet. Quelle est selon toi la meilleure façon de conjuguer cette étape avec son endettement?
EP : D’entrée de jeu, comme pour toute entreprise, il faut tenir compte de l’écart entre les coûts de démarrage potentiels et ses revenus.
Lorsqu’on devient médecin en exercice, nos revenus augmentent drastiquement, et il peut être très tentant de mettre les bouchées doubles pour rembourser ses dettes. Il faut cependant s’assurer de conserver suffisamment de liquidités pour couvrir tous les frais associés au démarrage de son cabinet si l’on veut éviter de devoir emprunter de nouveau.
Pour cette raison, il est important de conserver suffisamment d’espace dans sa marge de crédit et d’en relire attentivement les conditions. Vous devrez notamment en exploiter la période de grâce afin de vous aider à faire face aux coûts de démarrage et à un retard potentiel de vos revenus le temps de traverser un premier cycle de facturation.
Ensuite vient la question à laquelle tous les médecins à leur compte doivent répondre : devrais-je me constituer en société?
SL : Se constituer en société?
EP : Cela signifie que vous créez une société, une entité juridique distincte, qui est désormais propriétaire de votre cabinet et dont vous devenez actionnaire.
Son principal avantage est le report des impôts, qui facilitent l’épargne-retraite et le remboursement des dettes. Comme l’argent que vous laissez dans votre société est imposé au taux des petites entreprises, vous conservez une plus grande partie de chaque dollar gagné, que vous pouvez ensuite consacrer à ces choses.
Quand vient le temps de se constituer en société, il faut savoir choisir le bon moment, car une fois les coûts initiaux et les dépenses administratives annuelles payés, il faut s’assurer d’être en mesure de laisser de l’argent dans la société. En d’autres termes, il ne faut pas que vous ayez besoin de chaque dollar que vous gagnez pour payer vos frais de subsistance. Il est préférable d’en discuter avec votre comptable et votre conseiller MD pour déterminer le bon moment et comment intégrer le tout dans votre plan financier global.
SL : Super. Avant de conclure l’épisode, as-tu un dernier conseil pour les médecins ou futurs médecins qui nous écoutent et qui se demande comment gérer leur endettement?
EP : Oui, n’ayez pas honte de votre dette et ne laissez surtout pas l’endettement vous décourager de la profession. Soyez patient et ne dérogez pas de votre plan, c’est la clé de la prospérité. Et bien sûr, n’hésitez pas à consulter un conseiller professionnel. Comme nous l’avons dit plus tôt, les conseillers de MD sont là pour vous aider à toutes les étapes de votre parcours. Ils vous aideront à établir votre plan et à le garder à jour en fonction de l’évolution de vos objectifs. Ils sont des experts de votre domaine et savent ce qui peut le mieux fonctionner pour vous. Et sur ce, je vous souhaite bonne chance à tous.
SL : Génial. Merci d’être venu nous parler aujourd’hui. C’est toujours plaisant de discuter avec quelqu’un qui a une expérience pratique des choses. Qui sait, peut-être reviendras-tu nous voir bientôt?
EP : Merci. J’ai eu beaucoup de plaisir.
SL : Et un gros merci à tous nos auditeurs. Nous espérons que l’épisode d’aujourd’hui a répondu à certaines de vos questions et apaisé certaines de vos inquiétudes et nous vous souhaitons une excellente carrière. Une fois de plus, ici Stephanie Lewis et je vous dis au prochain épisode!
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