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Épisode 2 : Marchés et rendement des portefeuilles MD dans le contexte de la COVID-19

2020-04-21

Craig Maddock et Ian Taylor parlent du premier trimestre de 2020, des retombées de la COVID-19, de la performance des portefeuilles MD et de la suite des choses.


*Il peut s’écouler jusqu’à 24 heures avant que l’épisode ci-dessus figure dans vos favoris. Le balado L’Analyste MD est actuellement offert en anglais seulement.

Avertissements juridiques et transcription intégrale ci-dessous

Nous remercions encore une fois tous les médecins, professionnels de la santé et autres travailleurs des services essentiels qui prennent soin de nous en ce moment. Pendant que vous vous concentrez sur la santé publique, nous de MD, sommes déterminés à protéger tout ce que vous avez travaillé si fort à acquérir. Nous sommes là pour vous et pour votre famille. Si vous avez quelque question que ce soit sur les sujets abordés dans le présent balado, sur votre plan financier ou sur les mesures d’aide publiques, nous sommes à votre service.

Dans ce deuxième épisode du balado de l’Analyste MD, Craig Maddock, vice-président et gestionnaire de portefeuille principal ainsi que Ian Taylor, vice-président adjoint et gestionnaire de portefeuille jettent un regard rétrospectif sur les trois premiers mois de 2020, discutent du rendement mondial des marchés dans le contexte de la pandémie de COVID-19, du rendement du portefeuille MD et de la suite possible des choses.



Ce qui s’annonçait comme un début d’année prometteur a pris une tournure malheureuse. Qu’est‑il arrivé au premier trimestre de 2020?

Ian [0:54] Comme nous l’avons tous vu, le contexte a changé du tout au tout. L’économie a été touchée évidemment par la crise sanitaire mondiale avec laquelle nous devons composer. Cette crise ne faisait pas partie de l’équation en début d’année. Les marchés reflètent la tournure des événements et les perspectives ont changé.

En rétrospective, on constate que c’est à la fin de février que la grande et spectaculaire braderie s’est amorcée sur les marchés boursiers, provoquant la chute la plus soudaine de l’histoire des indices boursiers. À un certain point, les marchés mondiaux avaient perdu plus de 30 % de leur valeur.

Maintenant, certains signes positifs ont émergé depuis la fin du trimestre et pas seulement en ce qui concerne la crise sanitaire. Les marchés obligataires et financiers mondiaux ont retrouvé un peu de stabilité. Dans l’ensemble, les indices boursiers ont reculé en cours de trimestre de plus ou moins 20 %.

La stabilité des marchés obligataires et plus particulièrement des bons du Trésor a contribué à contrebalancer en partie ce risque. Par conséquent, malgré l’ampleur des perturbations économiques en cours imputables à la crise sanitaire, les marchés obligataires suivent un double parcours. D’un côté, les bons du Trésor ont très bien réagi de même que tous les titres plus ou moins considérés comme sûrs. De l’autre, les obligations de sociétés ont, comme les actions, fait l’objet d’une liquidation. Dans l’ensemble, les portefeuilles équilibrés ont perdu quelque 10 % de leur valeur au cours du trimestre. Mais comme vous le savez, ce chiffre intègre la remontée de fin de trimestre.

Mais avant qu’éclate la pandémie, vous savez, nous nous attendions pour l’année à venir à la croissance la plus faible depuis la crise financière. Toutefois, nous pensions que la situation allait s’améliorer tout au long de l’année et que cette amélioration allait se refléter sur les marchés boursiers. Nous comprenions que nous étions plus près de la fin du cycle que du début. La propagation du coronavirus ou de la COVID-19 à l’échelle mondiale a complètement changé la donne. Les décideurs politiques ont rapidement réagi en fermant carrément l’économie pour des raisons sanitaires. Et ensuite, des mesures monétaires et budgétaires ont été prises pour stimuler avec force l’économie mondiale et éviter un effondrement. Voilà, en réalité, l’équilibre fondamental que nous devons trouver. À court terme, la situation a des effets assurément négatifs et importants, et tous ces événements ont des retombées considérables. Et vous savez, les marchés n’ont peut-être pas fini d’intégrer tous les aspects négatifs de la situation. Mais encore une fois, les perspectives à plus long terme contrebalancent ces effets négatifs. En effet, les perspectives se stabilisent grâce aux impressionnantes politiques publiques adoptées en coordination par les banques centrales et les politiciens pour mettre en place un train de mesures élargi de soutien du système financier, mais aussi, tout simplement, des marchés boursiers et de l’économie en général. Le déploiement de ces mesures se poursuit et il reste encore de l’espace pour les élargir même si, vous savez, la valeur des mesures annoncées atteint déjà plus de 10 % de la production économique mondiale annuelle.

La question clé est donc la suivante : quelle sera la suite des choses pour l’économie? Et qu’est-ce que cela signifie pour les marchés financiers? Comme je l’ai mentionné, vous savez, la décision relève davantage de la politique sanitaire que d’autre chose pour l’instant. Nous savons ce qui doit être fait et nous devons bien le faire. Selon l’information dont nous disposons actuellement, ce que cela signifie sur le plan économique, c’est que l’activité économique reprendra, mais très graduellement, ce qui aura des retombées profondes sur les entreprises et leurs perspectives de bénéfices, tout dépendant du secteur dans lequel elles exercent leurs activités. Il est certain que la réaction des consommateurs à la situation, et plus particulièrement de ceux qui vivent des épreuves financières, aura un effet malgré les nombreuses mesures d’aide financière qui, au bout du compte, les aideront à traverser cette crise, mais rien de plus. Ces mesures ne garantissent en rien que la situation reviendra à ce qu’elle était et que les emplois seront encore là lorsque les entreprises réévalueront leurs perspectives.

Par conséquent, un certain nombre d’entreprises vont survivre grâce à l’aide qui leur a été fournie et beaucoup de gens reprendront le travail, mais ce retour sera graduel et la relance économique sera lente. À cette situation complexe, s’ajoutera l’incertitude entourant la crise sanitaire, la question à savoir si oui ou non elle pourra être contenue et pendant combien de temps le virus sera avec nous. Par conséquent, et Craig abordera cette question, il nous faut envisager la situation sous un angle défensif. Vous savez, il y a eu une remontée sur les marchés au cours des dernières semaines. Toutefois, la viabilité de cette remontée dépend dans une large mesure des événements les plus susceptibles de survenir sur le plan économique. Pour l’instant, nous pensons que la reprise sera graduelle et qu’elle est exposée à bien des risques. À plus long terme, les possibilités du marché demeurent les mêmes qu’auparavant et en fait, de nouvelles possibilités s’ouvriront probablement. Toutefois, à court terme, l’incertitude demeure si importante qu’elle justifie des positions plus défensives pour une période d’au moins six mois pendant laquelle nous observerons avec attention le déroulement des événements.

MD a apporté un certain nombre d’ajustements à son portefeuille en s’appuyant sur l’information la plus récente dont il disposait à ce moment, allant d’une position prudemment optimiste de surpondération légère des actions à une position plus prudente sous-pondérant les mêmes titres. Où en sommes-nous aujourd’hui et quelle sera la suite des choses?

Craig [4:45] Notre position est similaire à celle qui prévalait au moment de notre dernier appel, mais pour répéter ce qu’Ian a mentionné, elle reflétait en début d’année nos prévisions d’une faible croissance mondiale de milieu ou de fin de cycle. Nous favorisions à ce moment la surpondération des actions, car nous étions généralement optimistes à l’endroit des titres plus risqués, ce qui transparaissait dans nos positions de change, dans notre positionnement relatif entre marchés boursiers et marchés obligataires. Donc, dans une perspective cyclique, il semblait raisonnable de s’attendre à ce que le positionnement des portefeuilles fonctionne relativement bien.

Comme vous l’avez constaté, les événements se sont ensuite précipités, et nous avons dû repositionner les portefeuilles le plus rapidement possible. Nous sommes passés d’une surpondération à une sous-pondération des actions tout en majorant les positions défensives de tous les portefeuilles. Nous retrouvons donc actuellement dans nos portefeuilles environ 5 % de liquidités et ceux-ci sont actuellement sous-pondérés en actions et surpondérés en titres liquides ou en titres à revenu fixe, jusqu’à un certain point.

Nous continuons de revoir ce positionnement à mesure que nous obtenons de l’information. Ian vous a parlé précédemment des importantes mesures de stimulation budgétaires ou monétaires mises en place et qui sont assurément à l’origine de la légère remontée des marchés. Et nous réévaluons constamment le besoin de modifier ou non nos positions.

Nous ne sommes donc pas aussi défensifs que nous l’avons été au creux extrême de cette crise, mais nous restons défensifs dans la plupart des volets de nos portefeuilles, car nous demeurons dans l’expectative et nous continuons de voir beaucoup de points sombres qui se répercuteront nécessairement sur la valeur des titres.

En bref, nous avons aujourd’hui plus de liquidités dans nos portefeuilles. Nos fonds de titres à revenu fixe sont positionnés plus prudemment que d’habitude et nous sommes donc moins exposés aux titres de créance. Par ailleurs, certains de nos fonds d’actions ont aussi adopté une position plus défensive en augmentant la proportion de liquidités, c.-à-d. en conservant une plus forte proportion de titres liquides que nous le ferions normalement dans un fonds d’actions et en privilégiant les secteurs plus défensifs.

À la fin de l’année dernière, nos grandes préoccupations étaient le commerce entre la Chine et les États-Unis, le Brexit et le résultat des élections américaines. Ces facteurs sont-ils encore d’actualité?

Ian [6:58] Oui, vraiment Alex. Même si la propagation de la COVID‑19 a complètement chamboulé notre monde et entraîné la mise en pause d’une bonne partie de l’économie mondiale, ces enjeux demeurent primordiaux. En fait, les événements actuels commencent même à s’entremêler à ces facteurs.

Ces dossiers joueront un rôle fondamental dans le processus de relance et en détermineront même la nature. Prenons par exemple les élections présidentielles américaines. Pour l’instant, avec l’évolution spectaculaire de la situation et le caractère hautement incertain de la rapidité de la relance et de son efficacité, il est certain que la crise actuelle aura une incidence sur le résultat de l’élection. Et, comme vous vous en doutez, ce résultat entraînera des différences substantielles sur les politiques publiques qui suivront.

Mais cette question n’est pas véritablement au cœur des préoccupations des marchés pour l’instant. Toutefois, lorsque la crainte initiale d’une contraction de l’économie et la peur causée par la crise sanitaire commenceront à s’estomper, ces enjeux reprendront leur place au centre de l’actualité. Ce sera assurément le cas aux troisième et quatrième trimestres de l’année.

Donc, dans notre réflexion sur ces questions, il faut nous demander si elles auront une incidence à court terme sur l’ampleur de la relance et sur la manière dont cette relance se déroulera. Pas vraiment. La politique sanitaire est le facteur qui influera le plus sur la relance économique même si la volonté des politiciens aura aussi une influence à ce stade. Mais si l’on tente de discerner les thèmes qui s’imposeront à plus long terme, notamment lorsqu’il est question du commerce entre les États-Unis et la Chine, vous savez, le problème des chaînes d’approvisionnement prendra une nouvelle dimension dans le contexte des fermetures de frontières et de leurs retombées. Le lieu de fabrication de certaines marchandises cruciales prendra peut-être une importance nouvelle, ce qui aura des répercussions profondes sur les secteurs qui jouent un rôle clé dans la fabrication de certains produits. Ce sont là des éléments sur lesquels nous nous pencherons certainement et qui, dans une perspective de long terme, nous amèneront probablement à modifier notre positionnement.

Que peut-on dire du rendement des fonds et des portefeuilles MD?

Craig [8:43] Le portefeuille moyen a perdu environ 10 % de sa valeur pendant le trimestre. Le rendement des fonds comportant une proportion plus forte d’actions a évidemment été moins bon et les gains accumulés au cours de la dernière année ont été effacés. Les rendements de 2019 étaient pourtant très solides. Ils ont tous été effacés. Les rendements sur 3 ans demeurent positifs pour la plupart des portefeuilles et par conséquent, si vous portez votre regard plus loin à l’horizon ou si vos placements visent le plus long terme, ce qui devrait être le cas si vous avez des placements sur le marché boursier, malgré le repli récent, votre situation demeure positive bien que moins solide qu’auparavant. La situation n’est donc pas si mauvaise compte tenu de la gravité et de l’ampleur de la liquidation à laquelle nous venons d’assister.

Et comme nous étions positionnés en prévision d’une faible croissance dès le début de l’année, nos portefeuilles ont réagi à retardement par rapport à l’indice de référence au cours de cette baisse rapide et sans précédent. Je suis convaincu que nous avons agi le plus promptement possible pour atténuer le risque de nos portefeuilles, mais il n’y avait vraiment aucun moyen de s’en sortir indemne, à cause de la rapidité des événements lorsque la COVID-19 a commencé à se propager partout dans le monde.

Je vois un peu de lumière du côté de nos fonds d’actions à dividendes qui sont positionnés pour une plus grande stabilité et qui en général, sont moins sensibles aux fluctuations cycliques. Ces fonds ont offert un bon rendement en cours de trimestre tout comme nos fonds d’actions de croissance, ce qui peut paraître paradoxal. En effet, on s’attendrait normalement à ce que des titres de croissance ne se comportent pas si bien pendant un recul des marchés. Toutefois, nos fonds de croissance sont généralement composés de titres de qualité supérieure et il est normal que des titres de ce genre résistent raisonnablement bien à une phase baissière. Et ils l’ont fait. Je pense qu’ils se sont comportés un peu mieux que ce à quoi nous nous attendions, ce qui constitue jusqu’à un certain point une source de réconfort.

En revanche, nos fonds de valeur ont absorbé l’essentiel du choc de la baisse. Il est difficile de concevoir que des titres de valeur aient un si mauvais rendement. Dans le passé, notamment au moment de l’éclatement de la bulle des titres technologiques, les titres de valeur ont dans les faits offert un rendement supérieur pendant les phases baissières. Mais les portefeuilles de titres de valeur ces jours-ci sont dominés par le secteur des services financiers, et les entreprises de ce secteur ont éprouvé de grandes difficultés au début de ce repli. Surtout que nous avions commencé à voir ce qui n’était pas encore un exode vers les liquidités, mais qui en donnait les signes avant que les gouvernements de par le monde commencent à mettre en place de nombreuses mesures de stimulation.

Maintenant, comme nous l’avons déjà indiqué, nous avons agi très rapidement pour ajuster les portefeuilles, car nous entrevoyions une détérioration encore plus grave de l’activité économique et au bout du compte, des marchés boursiers. Nous avons repositionné les portefeuilles en conséquence. Notre position actuelle est très défensive, car nous pensons que d’autres problèmes pourraient survenir sur les marchés.

En outre, en raison de l’exode vers la sécurité qui a déclenché la correction, les obligations de sociétés à haut rendement et les actions de sociétés à faible capitalisation au Canada ont aussi chuté plus bas et plus rapidement que les titres de sociétés plus grandes et de meilleure qualité. Nos stratégies s’appuient à la fois sur les obligations de sociétés et sur les actions de sociétés à faible capitalisation. À long terme, ce sont d’excellents titres pour ajouter de la valeur et gérer les portefeuilles dans une perspective de rendement ajusté en fonction du risque. Clairement, dans le genre de repli dont nous avons été témoins, il n’est pas étonnant que ces stratégies aient offert un rendement inférieur à celui des obligations d’État ou de grandes sociétés de qualité supérieure. Ce facteur a donc nui à quelques-uns de nos fonds et a contribué quelque peu au rendement global de nos portefeuilles.

Dans l’ensemble, l’équipe de Gestion multiactif qui gère les fonds et fonds collectifs ainsi que nos portefeuilles a géré de manière exceptionnelle cette crise. Nous travaillons en confinement depuis la mi‑mars et avons malgré tout communiqué régulièrement pour discuter des nouveaux éléments d’information qui se succédaient. La qualité des personnes à notre disposition et notre capacité de digérer l’information et d’apporter des correctifs en temps réel sont autant d’éléments qui ont contribué à assainir la situation. Je suis satisfait de la position actuelle de nos portefeuilles et des mesures que nous avons prises et j’ai le sentiment véritable que nous sommes bien positionnés en vue d’une éventuelle relance.

Que pensez-vous du rendement des fonds de titres à revenu fixe? Quel effet ces titres ont-ils eu sur le rendement global de nos portefeuilles?

Craig [12:26] Les obligations ont bien fait leur travail dans le contexte : les actions ont plongé et les obligations se sont appréciées. C’est exactement ce qu’elles sont censées faire. Les investisseurs détiennent habituellement des obligations pour qu’elles servent de contrepoids aux risques pris sur les marchés boursiers. Nous recherchons un équilibre entre les rendements à long terme et les positions défensives lorsque c’est nécessaire. Et au dernier trimestre, nous avions besoin de positions défensives.

Cependant, les taux de rendement sont actuellement très bas. Ils le sont encore plus qu’ils l’étaient au début du trimestre, d’où une nouvelle difficulté à venir. À plus long terme, il est certain que les obligations ne seront plus aussi rentables qu’avant sauf celles qui sont beaucoup plus risquées. Il est peu probable que nous allions en ce sens. C’est donc dire que la capacité des obligations de protéger les portefeuilles dans l’éventualité d’un nouveau repli est actuellement amoindrie.

Les titres à revenu fixe ont fait leur travail cette fois, mais avec des taux d’intérêt aussi bas que maintenant, leur capacité de le faire s’il y avait un nouveau plongeon est moins certaine.

Aimeriez-vous formuler quelques mots en terminant?

Ian [13:35] Je pense que la chose importante à souligner maintenant est que l’environnement évolue très vite comme nous l’avons tous vu. Mais, en ce qui concerne les marchés financiers, nous réévaluons constamment l’information nouvelle qui nous parvient. Nous avons la capacité d’être à la fois réactifs et proactifs. Nos partenaires en gestion de portefeuille sont vraiment solides et l’information qu’ils nous communiquent nous aidera à traverser cette crise comme nous l’avons fait les fois précédentes au fil de l’histoire de MD.

Tout aussi certainement que la situation évolue, nous sommes en mesure de l’évaluer et d’apporter les changements nécessaires. Et c’est ce que nous continuerons de faire. Nous vous communiquerons toute l’information nécessaire et vous guiderons dans cet environnement particulier, avec la conviction qu’à long terme, cette crise créera autant de possibilités qu’elle crée de rendements négatifs à très court terme.

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