Balado : Les impôts quand on est médecin
Dans cet épisode, animé par Carl Dubeau en compagnie de Julie Gauthier, il est question des impôts et des stratégies de planification que les familles de médecins peuvent utiliser pour éviter d’en payer trop, et ainsi garder plus d’argent pour leurs objectifs.
Vous écoutez le balado Littératie Financière, une présentation de Gestion financière MD.
La seule société pancanadienne de services financiers qui se consacre au bien-être financier des médecins et des membres de leur famille.
CD : Bonjour à tous et bienvenue à ce nouvel épisode du balado Littératie Financière. Comme vous le savez, ce balado porte sur la planification financière pour les médecins et leur famille.
Je m’appelle Carl Dubeau. Dans l’épisode d’aujourd’hui, nous abordons la question des impôts et des stratégies de planification que les médecins et leur famille peuvent utiliser pour éviter d’en payer trop, et ainsi garder plus d’argent pour leurs objectifs.
Avec moi aujourd’hui pour répondre à certaines questions et vous offrir d’excellents conseils sur la fiscalité, nous avons un Julie Gauthier.
JG : Bonjour tout le monde!
CD : Merci Julie de prendre le temps de te joindre à nous aujourd’hui. Je crois que les auditeurs ont aussi hâte que moi de découvrir les astuces que tu nous réserves.
JG : Merci! Je suis très heureux d’être ici aujourd’hui pour vous parler de fiscalité. La simple mention des impôts suffit à donner une crise d’urticaire à plusieurs médecins, qui trouvent le monde de la fiscalité très complexe. Mon rôle aujourd’hui est de vous présenter quelques stratégies utiles pour réduire votre facture d’impôt, et le stress qui y est associé.
CD : Fan-tas-tique! N’attendons pas plus longtemps et entrons dans le vif du sujet en abordant le rôle des impôts dans la planification financière des médecins.
JG : Entendu. Comme je viens de le dire, beaucoup de gens se sentent dépassés quand vient le temps de faire leur déclaration de revenus, mais je crois qu’on peut alléger ce stress si on prend simplement le temps de se renseigner correctement. D’entrée de jeu, si vous vous reconnaissez dans ce que je viens de dire, vous devriez trouver un conseiller financier et un comptable de confiance pour vous aider à démêler le tout et atteindre vos objectifs plus rapidement.
Si vous êtes plus du type autodidacte, le blogue Capsule MD propose chaque année un guide d’impôt très utile.
On sait qu’une foule de règles et de facteurs influencent le calcul de l’impôt à payer sur le revenu. Mais il y a aussi les déductions, les crédits et certaines stratégies qui permettent d’en réduire le montant. Un comptable, et plus particulièrement un fiscaliste, pourra vous aider à déterminer vos objectifs et à trouver la meilleure stratégie pour les atteindre. Il vous aidera aussi à savoir quels reçus, formulaires et autres documents conserver pour éviter des erreurs coûteuses. Ensuite, votre conseiller pourra intégrer ces stratégies dans votre plan.
Les finances des médecins et des futurs médecins sont tellement différentes des autres... pourquoi est-ce que ça serait différent pour les impôts? Que ce soit pendant l’université, la résidence ou même une fois en exercice, il y a toujours des façons de s’éviter des impôts et d’épargner pour ses objectifs.
C’est là que les services des conseillers spécialisés de MD prennent toute leur importance. Nous comprenons que les médecins et leur famille ont des besoins uniques, et nous en avons fait notre créneau. Expertise, ressources comme ce balado... nous offrons aux médecins ce dont ils ont besoin pour apprendre à gérer leurs finances avec confiance.
CD : Oui, c’est exactement notre objectif. Nous ne nous contentons pas de conseiller les médecins, mais nous les guidons et les amenons à prendre des décisions financières éclairées et avantageuses à court et à long terme.
Pour comprendre ce que ça veut dire, concrètement, examinons ensemble chaque étape du parcours d’un médecin sous l’angle de la fiscalité. Commençons par l’université. À quoi les étudiants en médecine doivent-ils faire attention?
JG : Si vous étudiez en médecine, les chances sont bonnes que vous ne travaillez pas et que vous ne voyez pas l’importance de remplir une déclaration de revenus. Ce serait une erreur, car vous êtes probablement admissible à bon nombre de crédits d’impôt remboursables.
Le premier est le crédit d’impôt pour la TPS/TVH, qui vient compenser en partie les montants de TPS et de TVH payés par les personnes à faible ou moyen revenu. Tout ce que vous avez à faire pour en profiter est de remplir votre déclaration de revenus. L’Agence du revenu du Canada se chargera d’émettre votre premier paiement après votre 19e anniversaire. Si vous habitez au Québec et êtes majeur, vous pourriez aussi avoir droit au Crédit d’impôt pour la solidarité, une autre mesure d’aide pour les ménages à faible ou moyen revenu.
En tant qu’étudiant, vous pouvez également déduire certaines de vos dépenses, comme vos frais de scolarité, mais aussi vos frais d’inscription, vos frais d’utilisation de la bibliothèque et des laboratoires... et même vos frais d’examen. Dans le cas qui nous intéresse, ce pourrait par exemple être les frais pour les examens d’aptitude du Conseil médical du Canada. Il existe un crédit provincial semblable au Québec. Peu importe où vous étudiez, votre université aura tous les renseignements et formulaires nécessaires pour vous permettre de tirer parti de ces précieux crédits.
Autre chose. Si vous avez déjà commencé à rembourser un prêt étudiant reçu en vertu de la Loi sur les prêts aux étudiants ou d’un programme de prêts provincial ou territorial similaire, vous pourriez être admissible à un crédit d’impôt fédéral non remboursable équivalant à 15 % des intérêts payés. Cependant, en avril 2021, le gouvernement fédéral a annoncé qu’il suspendait les intérêts sur ses prêts étudiants jusqu’en mars 2023. Le crédit d’impôt dont je viens de parler pourrait donc ne pas s’appliquer à tous les étudiants pour le moment. Ici encore, il existe un crédit différent au Québec, mais les avantages sont les mêmes que ceux du crédit fédéral.
Autre chose bonne à savoir : les crédits pour frais de scolarité et pour intérêts peuvent être reportés. Ça veut dire que vous pouvez attendre d’avoir un peu plus d’impôts à payer pour les utiliser afin d’en tirer le maximum. Le crédit pour frais de scolarité peut être reporté indéfiniment, et celui pour intérêts peut l’être pendant cinq ans.
CD : À part ce qui a trait à la scolarité, il y a d’autres dépenses que les étudiants peuvent déduire, n’est-ce pas?
JG : Tout à fait. Les frais de déménagement, les frais médicaux et les frais de garde d’enfants pourraient tous vous aider à réduire votre facture d’impôt.
Par exemple, si vous devez déménager à plus de 40 km pour vos études ou le travail, vous pouvez déduire vos frais de transport et d’hébergement temporaire. De plus, vous pouvez demander un crédit d’impôt de 15 % sur la plupart des frais médicaux qui ne sont pas couverts par un régime d’assurance public ou privé. D’ailleurs, les résidents du Québec ont droit à un crédit d’impôt non remboursable additionnel sur ces frais.
En ce qui concerne les frais de garde d’enfant, vous pouvez déduire jusqu’à 8 000 dollars de frais de garderie, de gardienne à domicile, etc. pour les enfants de 6 ans et moins, et jusqu’à 5 000 dollars pour les enfants de 7 à 16 ans. Gardez toutefois à l’esprit que ces dépenses ne peuvent être déduites que par le conjoint au revenu le plus faible, de sorte que les deux conjoints doivent avoir un revenu pour pouvoir les déduire. Au Québec, ce crédit et le crédit provincial sont cumulatifs.
En passant, si vous êtes un étudiant en médecine et que votre situation fiscale est simple, vous pouvez faire préparer gratuitement votre déclaration de revenus par le cabinet comptable MNP.
CD : Wow, c’est génial ça! Et je suppose que les résidents sont aussi admissibles à tous ces crédits d’impôt?
JG : C’est exact.
CD : Et y a-t-il d’autres dépenses qu’ils peuvent déduire?
JG : Bien sûr. Lorsque vous entamez votre résidence, vous commencez à gagner un salaire. Vous n’avez donc plus le choix de remplir une déclaration de revenus. C’est un excellent moment pour utiliser les crédits d’impôt que vous avez reportés lors de vos études s’ils sont encore valides.
Comme c’était le cas à l’université, si vous remplissez tous les critères, vos frais de scolarité, les intérêts sur vos prêts étudiants ainsi que vos frais de déménagement et de garde d’enfants sont toujours admissibles à des crédits et à des déductions pendant votre résidence.
Mais ah-AH! À titre de résident, vous avez de nouvelles dépenses déductibles, comme les droits d’adhésion à un syndicat ou à une association. Par exemple, si vous avez payé une cotisation au collège des médecins de votre province ou territoire pour pouvoir exercer la médecine, ce montant est généralement déductible. Il existe également un certain nombre d’associations provinciales de résidents dont les cotisations obligatoires sont déductibles.
En cas de doute sur la déductibilité de certains frais, n’hésitez pas à consulter un fiscaliste. Les résidents peuvent eux aussi faire préparer gratuitement leur déclaration de revenus par le cabinet comptable MNP.
CD : Fantastique. Passons maintenant de la formation à l’exercice.
JG : Entendu. Ici, ça se corse, parce que tout dépend de la façon dont vous structurez votre pratique et le mode de rémunération que vous choisissez pour vous-même.
Généralement, lorsque votre employeur vous verse un salaire, les impôts sont automatiquement retenus à la source. Mais pour un médecin à son compte, c’est différent, car il facture le ministère provincial selon un système de rémunération à l’acte, puis reçoit ce que l’on appelle un paiement clinique brut. Ce montant sert à couvrir tous ses frais fixes : ses locaux, le salaire de son personnel de soutien, sa propre rémunération et ses autres dépenses d’entreprise.
Un médecin qui travaille à son compte est responsable de calculer et de payer lui-même son impôt sur le revenu. Et ça vaut aussi pour les médecins exerçant en société.
Il est donc primordial pour ces personnes de connaître les dépenses d’entreprise admissibles aux déductions si elles veulent sabrer leur facture d’impôts.
CD : Tout à fait. Alors, pour un médecin, qu’est-ce qui constitue une dépense d’entreprise?
JG : Généralement, on entend par dépense d’entreprise toute dépense raisonnable engagée pour gagner un revenu d’entreprise.
Il y a plusieurs dépenses courantes que vous pouvez déduire pour économiser : le loyer, les services publics, l’assurance et l’impôt foncier sur les locaux que vous utilisez pour votre cabinet par exemple. Si vous avez pratiqué la télémédecine pendant la pandémie, vous pouvez déduire certaines dépenses liées à votre bureau à domicile.
Ensuite il y a l’équipement de bureau et les fournitures. Cela comprend tout équipement médical, les fournitures chirurgicales ainsi que les uniformes ou blouses pour vous et votre personnel.
Il y a aussi certaines dépenses mineures qui peuvent sembler sans grande conséquence... mais chaque dollar compte! Les dépenses publicitaires et les frais de déplacement par exemple, il ne faut pas les oublier! Vous pouvez même déduire vos frais de formation continue et le coût de vos permis.
CD : Bon, un médecin peut donc réduire sa facture d’impôts tout au long de son parcours simplement en déduisant tout un tas de dépenses. Mais y a-t-il d’autres stratégies?
JG : Tout à fait. Jusqu’à présent, nous avons parlé des impôts sur le revenu du médecin lui-même, mais il y a beaucoup d’autres facteurs d’ordre fiscal qui influencent les finances, et les objectifs, d’un ménage.
Et c’est là que le travail d’un conseiller prend tout son sens. Un conseiller de MD, par exemple, va regarder le plan financier de son client dans son ensemble pour déceler toutes les occasions d’aller gratter un peu plus d’argent. Comme il connaît bien les particularités propres aux finances des médecins, il saura trouver la solution la plus payante en bout de compte. Souvent, cette solution passe par la réduction des impôts à payer.
Par exemple, une façon efficace d’épargner en vue de ses objectifs est d’ouvrir un compte d’épargne libre d’impôt, ce qu’on appelle communément le CELI. Le nom dit tout. C’est le seul type de compte d’épargne qui permet de retirer les fonds à l’abri de l’impôt.
Si vous devez en retirer des fonds pour quelque raison que ce soit, le montant du retrait est rajouté à vos droits de cotisation pour l’année suivante.
Il faut simplement prendre garde à ne pas
s’emballer, car le CELI est assujetti à plafond annuel de cotisation. Les gens qui ont plusieurs CELI doivent être particulièrement prudents, car le plafond reste le même peu importe le nombre de comptes, et toute cotisation excédentaire entraîne des pénalités à payer.
CD : Merci, c’est bon à savoir. Donc, s’il y a une chose à retenir, c’est qu’il y aura toujours des impôts à payer, mais qu’il existe des solutions à chaque étape de votre parcours pour en réduire le montant.
JG : Exactement.
CD : D’accord. Il reste une question que nous n’avons pas encore abordée : « que doivent faire nos auditeurs s’ils ont un problème fiscal? » S’ils paient en retard, ou si la facture est trop salée, par exemple.
JG : Bon, la planification est de mise, parce que le fisc n’a pas la réputation d’être clément dans ce type de situation. Les médecins doivent être doublement prudents, car comme je l’ai dit plus, tôt, ils sont responsables de faire leurs propres calculs et paiements.
Pour éviter les retards, ils doivent se souvenir que même si les travailleurs autonomes ont jusqu’au 15 juin pour soumettre leur déclaration de revenus, ils doivent tout de même payer tout impôt exigible au plus tard le 30 avril. Il faut s’y prendre d’avance, car après cette date, l’ARC impose une pénalité sous la forme d’intérêts composés quotidiennement sur le solde dû. Si la déclaration de revenus est aussi en retard, une autre pénalité s’ajoute. Pour les médecins, dont le revenu est habituellement plutôt élevé, ces pénalités montent vite.
En ce qui concerne l’immense facture d’impôts, cela n’arrive habituellement qu’aux nouveaux médecins. N’oubliez pas que lorsque vous êtes résident, vous avez un salaire et que vos impôts sont retenus à la source. Mais lorsque vous commencez à exercer, vous devez les payer en versements trimestriels, dont le montant dépend des revenus déclarés l’année précédente. À votre première année, vous n’aurez pas à faire ces versements puisqu’il n’y aura aucune base de référence. Comme vous n’aurez rien payé en cours d’année, vous pourriez avoir une mauvaise surprise au moment de produire votre déclaration de revenus. Vous devez être prêt pour cette éventualité. Planifiez et mettez une partie de vos revenus de côté pour les impôts dès que vous commencez à exercer.
Si vous avez de la difficulté à faire vos versements ou si vous avez un solde impayé, il est important de contacter l’ARC immédiatement. Vous pouvez expliquer votre situation, demander des précisions sur votre solde et obtenir toutes les informations dont vous avez besoin pour commencer à élaborer un plan de remboursement.
L’idée, c’est d’être aussi proactif que possible, car un problème d’impôts pourrait avoir de lourdes répercussions sur le reste de vos finances, notamment sur une demande de prêt hypothécaire.
Vous pourriez envisager d’emprunter pour payer votre solde. Assurez-vous alors de comparer le taux d’intérêt de votre prêteur avec celui de l’ARC et de calculer le temps requis pour repayer le tout afin de déterminer si c’est une bonne idée ou non. Une fois de plus, un conseiller pourra vous aider.
CD : Ce sont tous des bons points. L’épisode d’aujourd’hui tire malheureusement déjà à sa fin, mais avant de nous quitter, as-tu un dernier conseil pour nos auditeurs?
JG : Certainement. En fait, je sais que nous vous avons bombardé d’information aujourd’hui, et que ça peut sembler intimidant. Les impôts, c’est complexe pour tout le monde, et c’est encore pire pour les médecins qui doivent composer avec des circonstances pour le moins particulières. Il n’y a pas de mal à ne pas tout comprendre. L’important, c’est de savoir à quoi s’attendre afin de pouvoir se préparer adéquatement et d’éviter les principaux pièges.
Encore plus important : il faut savoir où aller chercher de l’aide au besoin. La meilleure façon de ne pas perdre le fil, c’est de faire affaire avec un bon comptable et un conseiller financier professionnel, par exemple un conseiller de MD, qui comprend vos besoins. Que ce soit pour la gestion de vos impôts ou la réalisation de vos objectifs financiers, faites confiance à des professionnels pour vous guider et vous aider à prendre les meilleures décisions pour vous et votre famille.
CD : Parfait. Quelle discussion enrichissante! Julie, merci encore de t’être joint à nous aujourd’hui. Ce fut un plaisir de discuter avec toi.
JG : Merci! J’ai bien aimé mon expérience.
CD : Et un grand merci à nos auditeurs. J’espère que vous avez aimé l’épisode d’aujourd’hui et que vous aurez appris quelques astuces utiles pour la prochaine saison des impôts. Encore une fois, je m’appelle Carl Dubeau et j’ai été ravi d’être votre animateur. Soyez des nôtres la prochaine fois, alors que nous aborderons la question de l’exercice en société. À la prochaine!
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